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MOUSTAPHA CISSE LO SUR 2012 "Macky doit aller à l’assaut des urnes !"

NETTALI.NET- Entre Moustapha Cissé Lô et le Parti démocratique sénégalais (Pds) la page semble définitivement tournée. Avec cette révélation, l’ancien député libéral exclu de l’Assemblée nationale a tenu à mettre fin aux rumeurs sur le prétendu chantage qu’il aurait exercé sur Wade pour retourner au Pds. Il aussi mis en garde ses anciens collègues députés à propos d’une éventuelle suppression du second tour.


Rédigé par leral.net le Lundi 9 Novembre 2009 à 20:27 | | 3 commentaire(s)|

MOUSTAPHA CISSE LO SUR 2012 "Macky doit aller à l’assaut des urnes !"
" Je réitère mon militantisme à l’Apr (Alliance pour la République dont je suis membre depuis 02 mois", a d’emblée précisé Moustapha Cissé Lô au cours de l’émission "Sortie" diffusée sur la chaîne de télévision privée WalfTv.

Démentant les rumeurs sur un prétendu chantage qu’il aurait exercé sur Me Wade en vue de retourner au Pds, l’ancien responsable libéral de Touba Mosquée indique : " si j’ai tenu à rencontrer Me Wade, c’est pour discuter des dérives constatées dans le pays". Cette précision faite, Moustapha Cissé Lô annonce qu’il a tourné définitivement la page Pds. Mieux, affirme t-il : " Si Macky Sall retourne au Pds, il va me laisser à l’Apr. Le Pds c’est un parti où la contradiction n’existe pas !".

La page Pds tournée, Moustapha Cissé Lô aborde la question de la candidature unique ou plurielle de Bennoo siggil Senegaal (Bss). Et partant du fait que Bss est un cadre de lutte et de concertation et non une coalition électorale, l’ancien député libéral déchu, exclut toute idée de candidature unique. Ceci d’autant plus que chaque parti a une idéologie et une histoire qui lui est propre. Par conséquent, M. Lô, estime que le président de l’Apr, Macky Sall qui, à son avis, " est le meilleur candidat ", doit aller à l’assaut des urnes et non se ranger derrière quiconque. D’ailleurs, il n’exclut pas de quitter Macky Sall, si ce dernier se rangerait derrière un autre candidat. " S’il soutient un autre candidat moi, je le quitte", assène-t-il en jurant sur le Saint Coran. " Je ne négocie pas avec cela ", ajoute-t-il.

Des menaces aussi ont été brandies à l’endroit des députés pour une éventuelle suppression du second tour. Qualifiant ses anciens collègues de "maîtres maçons et d’apprentis maçons" Moustapha Cissé Lô de lancer : " s’ils osent toucher à la Constitution c’est la fin du régime car nous prendrons nos responsabilités ".

Pape Alé Niang


1.Posté par boy pikine le 09/11/2009 20:50 | Alerter
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Si Les socialistes veulent s’unirent pour reconquérir le pouvoir, pourquoi refuser cela aux libéraux ?


Idrissa SECK a toujours été constant dans sa position. Il a toujours déclaré sa volonté de participer aux retrouvailles de la grande famille libérale. Déjà le 4 Avril 2006, en annonçant sa candidature à la présidentielle, il avait déclaré : « La force politique sur laquelle je compte m’appuyer pour cela est d’abord le PDS, ma famille naturelle au sens des hommes et des femmes qui y partagent ma vision et mes valeurs et qui sont majoritaires, qu’ils soient manifestés ou cachés. ».
Et tout récemment, en rendant visite au journaliste de la rfm, Kambel Dieng, le mercredi 8 Juin 2008, il avait renouvelé sa volonté de réunification de la famille libérale en ces termes : « (..) On a dévié du chemin ! C’est ma responsabilité de veiller à l’unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique , Je reste libéral. Je considère que la responsabilité de ramener ma famille politique au Sopi (Changement) de 2000, qui avait même séduit des membres actuels du Front Siggil Sénégal dont Moustapha Niasse -pourtant socialiste ancien-, Amath Dansokho, Landing, Bathily, ce Sopi-là qui vous avait mobilisés au point de créer un enthousiasme considérable que l’on n’a pas revu en 2007. En 2000, les gens, leurs défilés, leurs danses dans les rues, leurs klaxons, les jeunes à pieds qui ont convergé vers le Point E, on ne les a pas vus dans la rue en 2007. Qu’est-ce qui s’est passé ? On a dévié du chemin ! C’est ma responsabilité de veiller à l’unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique. Cela est cohérent parce que je ne souhaite pas que ce qui est arrivé à la famille voisine, la famille socialiste, nous arrive. Si en 2000, Moustapha Niasse, fort de ses 16, 7% avait dit, malgré ce qui l’opposait à ses camarades socialistes, qu’il est socialiste et qu’il amenait ses 16% au 42% de Diouf, nous, nous serions encore dans la rue, dans l’opposition. Je ne veux pas que cette cassure arrive à ma famille politique (…) Mon slogan de campagne a été « le Président du vrai changement ».



















Idrissa SECK a toujours été constant dans sa position. Il a toujours déclaré sa volonté de participer aux retrouvailles de la grande famille libérale. Déjà le 4 Avril 2006, en annonçant sa candidature à la présidentielle, il avait déclaré : « La force politique sur laquelle je compte m’appuyer pour cela est d’abord le PDS, ma famille naturelle au sens des hommes et des femmes qui y partagent ma vision et mes valeurs et qui sont majoritaires, qu’ils soient manifestés ou cachés. ».
Et tout récemment, en rendant visite au journaliste de la rfm, Kambel Dieng, le mercredi 8 Juin 2008, il avait renouvelé sa volonté de réunification de la famille libérale en ces termes : « (..) On a dévié du chemin ! C’est ma responsabilité de veiller à l’unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique , Je reste libéral. Je considère que la responsabilité de ramener ma famille politique au Sopi (Changement) de 2000, qui avait même séduit des membres actuels du Front Siggil Sénégal dont Moustapha Niasse -pourtant socialiste ancien-, Amath Dansokho, Landing, Bathily, ce Sopi-là qui vous avait mobilisés au point de créer un enthousiasme considérable que l’on n’a pas revu en 2007. En 2000, les gens, leurs défilés, leurs danses dans les rues, leurs klaxons, les jeunes à pieds qui ont convergé vers le Point E, on ne les a pas vus dans la rue en 2007. Qu’est-ce qui s’est passé ? On a dévié du chemin ! C’est ma responsabilité de veiller à l’unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique. Cela est cohérent parce que je ne souhaite pas que ce qui est arrivé à la famille voisine, la famille socialiste, nous arrive. Si en 2000, Moustapha Niasse, fort de ses 16, 7% avait dit, malgré ce qui l’opposait à ses camarades socialistes, qu’il est socialiste et qu’il amenait ses 16% au 42% de Diouf, nous, nous serions encore dans la rue, dans l’opposition. Je ne veux pas que cette cassure arrive à ma famille politique (…) Mon slogan de campagne a été « le Président du vrai changement ».













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Et tout récemment, en rendant visite au journaliste de la rfm, Kambel Dieng, le mercredi 8 Juin 2008, il avait renouvelé sa volonté de réunification de la famille libérale en ces termes : « (..) On a dévié du chemin ! C’est ma responsabilité de veiller à l’unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique , Je reste libéral. Je considère que la responsabilité de ramener ma famille politique au Sopi (Changement) de 2000, qui avait même séduit des membres actuels du Front Siggil Sénégal dont Moustapha Niasse -pourtant socialiste ancien-, Amath Dansokho, Landing, Bathily, ce Sopi-là qui vous avait mobilisés au point de créer un enthousiasme considérable que l’on n’a pas revu en 2007. En 2000, les gens, leurs défilés, leurs danses dans les rues, leurs klaxons, les jeunes à pieds qui ont convergé vers le Point E, on ne les a pas vus dans la rue en 2007. Qu’est-ce qui s’est passé ? On a dévié du chemin ! C’est ma responsabilité de veiller à l’unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique. Cela est cohérent parce que je ne souhaite pas que ce qui est arrivé à la famille voisine, la famille socialiste, nous arrive. Si en 2000, Moustapha Niasse, fort de ses 16, 7% avait dit, malgré ce qui l’opposait à ses camarades socialistes, qu’il est socialiste et qu’il amenait ses 16% au 42% de Diouf, nous, nous serions encore dans la rue, dans l’opposition. Je ne veux pas que cette cassure arrive à ma famille politique (…) Mon slogan de campagne a été « le Président du vrai changement ».















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2.Posté par tgerderd le 09/11/2009 20:53 | Alerter
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waye el pistoléro mou gui niiiiiiiiiii

3.Posté par TANOR le 09/11/2009 21:47 | Alerter
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j'ai bien regarder le document sur la franc maçonnerie et les présidents africains et je suis étonné de constater que la chaine que les grands maitres portaient autour du cou c'est ce que portait senghor sur ses portraits qu'on nous montrait autrefois dans les classes est ce que une coïncidence.
Si c'est le cas ils sont tous des francs maçons car un franc maçons ne sera succédé que d'un franc maçons.
Sidy disait que MAKY lisait au cours d'un voyage un bouquin sur la franc maconnerie.
est ce que le fruit d'un rapide succes qu'a ce mec en neuf ans il a le meilleur CV meme senghor ne l'a pas

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