Il est toujours amoureux de son ex-femme. Pourtant, c’est à cause de celle-ci qu’il veut abandonner son travail. A 53 ans, S. ND risque de se retrouver au chômage. « Par choix, le juge qui n’a pas voulu m’écouter à prononcer le divorce à mon tort, dénonce le plaignant. Il m’a ôté le pain de la bouche. Puisqu’il est arrêté que je dois verser mensuellement 253 mille franc à ma femme pour la nourriture et les frais de scolarité de mes enfants. » « Sur mon salaire de 400 mille francs, si je m’acquitte de mon loyer et de mes engagements bancaire, je me retrouve avec 25 mille francs. Que puis-je faire avec un pareil montant ? », se lamente-t-il. Aussi l’enseignant a un enfant d’un autre lit à qui il doit verser mensuellement 30 mille francs. Quoiqu’il lui ait cherché une licence d’exploitation pour boisson alcoolisée et une dibiterie.
Dans quelques jours, S. ND devra quitter son appartement. « Je n’ai pas où aller. Peut-être j’apporterai mes bagages à mon service le temps de voir un ami qui pourra m’héberger », s’inquiète le fonctionnaire. Revenant sur son histoire d’amour avec celle qui lui a donné 3 héritiers, il révèle : « J’ai tout offert à cette femme qui ne m’a pas renvoyé l’ascenseur. Mes amis se moquent de moi. Certains me traitent de c… J’ai cédé à tous ses caprices. Je lui ai signé la monogamie ». A la question de savoir qui est cette femme qu’il a tant chérie, le divorcé raconte : « C’était mon ancienne élève. Je l’avais perdue de vue. Comme elle était du Sud, j’ai pensé à elle lors du naufrage du Joola. J’ai recherché son numéro pour m’enquérir de son état de santé. Je suis tombé sur sa tante qui m’a rassuré ».
Quelques temps après, le professeur rencontre son ancienne écolière qu’elle propose de déposer avec sa copine. Et tout est parti de ce jour. « Elle m’a laissé son téléphone portable. Et, tout est parti de là. » Les tourtereaux commencèrent à croquer la vie. Un mariage est envisagé. La famille de la dame qui est de religion catholique refuse de donner la main de leur fille. Contre vents et marée, les amants s’unissent à la mosquée.
« Je reconnais que sa beauté me dominait au point qu’elle me dominait sur tous les plans. Je peux dire que je la craignais. A la maison, c’est elle qui décidait de tout. Elle était la maîtresse. Il m’arrivait de rentrer à midi et de me voir servir du : « regarde dans le frigo. Je suis fatigué. Je n’ai pas cuisiné aujourd’hui ». Cocufié, ND l’était. Après qu’il l’a découvert, il n’a rien fait que d’essayer de raisonner sa femme de peur de la perdre. « Avant notre mariage, j’ai trouvé un jour le rasta émigré de France venu en vacances chez elle. Elle me l’a présenté et m’a fait savoir qu’il était son ami. Ce que j’ai cru. »
« Jusqu’au jour où je suis tombé sur des messages compromettants qu’elle a envoyés à son amant. Je ne pouvais le croire, c’était un choc pour moi qui pensais qu’elle m’était fidèle. Elle sortait quand elle voulait et rentrait au feeling. Quand je lui demande, elle me répond qu’elle avait des choses à régler », poursuit-t-il. Avant de lancer son appel : « je lance un SOS aux organisations de défense des droits de l’homme. Aidez-moi à sortir de cette misérable situation. Ce que m’a fait cette femme est injuste. Ce juge m’a mis à la rue sans m’écouter ».
Source: Walf Grand Place
Dans quelques jours, S. ND devra quitter son appartement. « Je n’ai pas où aller. Peut-être j’apporterai mes bagages à mon service le temps de voir un ami qui pourra m’héberger », s’inquiète le fonctionnaire. Revenant sur son histoire d’amour avec celle qui lui a donné 3 héritiers, il révèle : « J’ai tout offert à cette femme qui ne m’a pas renvoyé l’ascenseur. Mes amis se moquent de moi. Certains me traitent de c… J’ai cédé à tous ses caprices. Je lui ai signé la monogamie ». A la question de savoir qui est cette femme qu’il a tant chérie, le divorcé raconte : « C’était mon ancienne élève. Je l’avais perdue de vue. Comme elle était du Sud, j’ai pensé à elle lors du naufrage du Joola. J’ai recherché son numéro pour m’enquérir de son état de santé. Je suis tombé sur sa tante qui m’a rassuré ».
Quelques temps après, le professeur rencontre son ancienne écolière qu’elle propose de déposer avec sa copine. Et tout est parti de ce jour. « Elle m’a laissé son téléphone portable. Et, tout est parti de là. » Les tourtereaux commencèrent à croquer la vie. Un mariage est envisagé. La famille de la dame qui est de religion catholique refuse de donner la main de leur fille. Contre vents et marée, les amants s’unissent à la mosquée.
« Je reconnais que sa beauté me dominait au point qu’elle me dominait sur tous les plans. Je peux dire que je la craignais. A la maison, c’est elle qui décidait de tout. Elle était la maîtresse. Il m’arrivait de rentrer à midi et de me voir servir du : « regarde dans le frigo. Je suis fatigué. Je n’ai pas cuisiné aujourd’hui ». Cocufié, ND l’était. Après qu’il l’a découvert, il n’a rien fait que d’essayer de raisonner sa femme de peur de la perdre. « Avant notre mariage, j’ai trouvé un jour le rasta émigré de France venu en vacances chez elle. Elle me l’a présenté et m’a fait savoir qu’il était son ami. Ce que j’ai cru. »
« Jusqu’au jour où je suis tombé sur des messages compromettants qu’elle a envoyés à son amant. Je ne pouvais le croire, c’était un choc pour moi qui pensais qu’elle m’était fidèle. Elle sortait quand elle voulait et rentrait au feeling. Quand je lui demande, elle me répond qu’elle avait des choses à régler », poursuit-t-il. Avant de lancer son appel : « je lance un SOS aux organisations de défense des droits de l’homme. Aidez-moi à sortir de cette misérable situation. Ce que m’a fait cette femme est injuste. Ce juge m’a mis à la rue sans m’écouter ».
Source: Walf Grand Place