« L’événement qui nous réunit ce jour est révélateur d’une douloureuse actualité ; il s’agit du malaise profond dans lequel a sombré notre pays », a d’emblée précisé Macky Sall. Très critique à l’égard des tenants du pouvoir, le leader de l’Apr enfonce le clou. « Oui, le Sénégal va mal, très mal même », a-t-il dit sous les applaudissements nourris des militants qui ont fait le déplacement mais aussi des membres de la coalition Bennoo Siggil Senegaal et de Landing Savané, le leader d’Aj.
Pour Macky Sall, « le malaise politique, le malaise économique, le malaise social, et plus grave encore le malaise moral révèlent à tous, que la décadence et le dépôt de bilan du Sénégal sont là, et bien réel et qu’aucun glossaire de n’importe quelle langue et de n’importe quel dialecte, ne saurait être suffisamment expressif pour en rendre compte ».
« La peur bleue est devenue réellement bleue »
Macky Sall n’a pas porté de gants pour tirer à boulets rouges sur les tenants du pouvoir. « Jamais le Sénégal n’aura connu une aussi profonde décrépitude sociale sur fond d’inondations, de délestages, de misères structurantes et d’afflictions sociales de tous genres », a-t-il souligné. Avant d’ajouter, « la gouvernance politique, l’enlisement éthique est si profond que la pudeur nous interdit même de passer en revue ses différentes expressions et articulations ». Et c’est dans ce contexte rappelle l’ancien premier ministre que « il y a un an le 1er décembre 2008 affligés par les graves dérives du pouvoir, noyés dans ce profond désespoir social, et atteints de plein fouet par ce désastre économique sans précédent, des sénégalais décidèrent avec foi et conviction, de se soustraire du renoncement, mais également du pessimisme ravageur ». Ainsi pour Macky Sall, l’Apr est devenu plus qu’un cri du cœur, mais l’espoir contre un chaos savamment orchestré.
Et il est réconfortant souligne le leader de l’Apr, que « depuis ce moment, le camp de la peur s’est déplacé : La peur bleue est devenue réellement bleue ». Car à l’en croire, « le cheval de l’Apr, pour tracer de nouveaux sentiers à l’avenir des sénégalais, s’est fait l’obligation de brouter les épis de maïs qui jonchent déjà les pistes ».
Pour Macky Sall, « le malaise politique, le malaise économique, le malaise social, et plus grave encore le malaise moral révèlent à tous, que la décadence et le dépôt de bilan du Sénégal sont là, et bien réel et qu’aucun glossaire de n’importe quelle langue et de n’importe quel dialecte, ne saurait être suffisamment expressif pour en rendre compte ».
« La peur bleue est devenue réellement bleue »
Macky Sall n’a pas porté de gants pour tirer à boulets rouges sur les tenants du pouvoir. « Jamais le Sénégal n’aura connu une aussi profonde décrépitude sociale sur fond d’inondations, de délestages, de misères structurantes et d’afflictions sociales de tous genres », a-t-il souligné. Avant d’ajouter, « la gouvernance politique, l’enlisement éthique est si profond que la pudeur nous interdit même de passer en revue ses différentes expressions et articulations ». Et c’est dans ce contexte rappelle l’ancien premier ministre que « il y a un an le 1er décembre 2008 affligés par les graves dérives du pouvoir, noyés dans ce profond désespoir social, et atteints de plein fouet par ce désastre économique sans précédent, des sénégalais décidèrent avec foi et conviction, de se soustraire du renoncement, mais également du pessimisme ravageur ». Ainsi pour Macky Sall, l’Apr est devenu plus qu’un cri du cœur, mais l’espoir contre un chaos savamment orchestré.
Et il est réconfortant souligne le leader de l’Apr, que « depuis ce moment, le camp de la peur s’est déplacé : La peur bleue est devenue réellement bleue ». Car à l’en croire, « le cheval de l’Apr, pour tracer de nouveaux sentiers à l’avenir des sénégalais, s’est fait l’obligation de brouter les épis de maïs qui jonchent déjà les pistes ».