Sur cette loi, l’ancien Premier Ministre et ancien Président de l’Assemblée Nationale révèle que tout le monde n’était pas d’accord au PDS. Quant à lui, il n’était pas à l’aise car le régime n’était pas obligé d’accorder l’amnistie aux assassins de Me Babacar Seye.
Mais pour Macky Sall, il faut assumer ses responsabilités et rester quand il n’y a pas de contradictions majeures sources de rupture, au cas contraire, on quitte pour aller faire autre chose. C’est ce qu’il a fait dit-il quand le pouvoir à décider la création d’un Sénat au dessus de l’Assemblée Nationale, symbole de la souveraineté du peuple mais aussi la modification de la Constitution et l’adoption de lois scélérates juste pour se débarrasser de quelqu’un.
Rappelons que le Président Abdoulaye Wade avait promulgué le jeudi 17 février 2004 la loi Ezzan relative à l’amnistie politique. Ce texte offre l’impunité à tous les crimes politiques commis entre 1993 et 2004 en relation avec les élections.
NDIAGA DIOUF pressafrik.com
Mais pour Macky Sall, il faut assumer ses responsabilités et rester quand il n’y a pas de contradictions majeures sources de rupture, au cas contraire, on quitte pour aller faire autre chose. C’est ce qu’il a fait dit-il quand le pouvoir à décider la création d’un Sénat au dessus de l’Assemblée Nationale, symbole de la souveraineté du peuple mais aussi la modification de la Constitution et l’adoption de lois scélérates juste pour se débarrasser de quelqu’un.
Rappelons que le Président Abdoulaye Wade avait promulgué le jeudi 17 février 2004 la loi Ezzan relative à l’amnistie politique. Ce texte offre l’impunité à tous les crimes politiques commis entre 1993 et 2004 en relation avec les élections.
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