Certains tentent de présenter le président comme un homme n'ayant aucune considération pour ses compagnons historiques et qu'il les aurait mis dans une posture inférieure à leurs mérites.
En gros, aucune reconnaissance en direction de ceux-là, qui sont présentés comme ayant tout sacrifié pour l'accompagner. Et allez jusqu'à assigner un rôle particulier à mon frère et ami ABC dans la création de L'APR et même du choix de son appellation. Rôle que ABC n'a jamais revendiqué, et pour cause. Lui, il sait quelle appellation, il avait proposée.
Pour les autres cités , il est indéniable que leurs rôles au côté du président aura été pour beaucoup dans la conquête du pouvoir et leurs rôles, encore, aujourd'hui, à côté du président, chacun dans la posture où il est , contribue à la gouvernance du pays et à la consolidation des acquis politiques et organisationnels. Ils ne sont en rien en dehors de la décision.
On feint d'oublier que la présence autour de la table du Conseil des ministres, n'est pas forcément synonyme de détention de pouvoirs. Sinon, c'est méconnaître la nature des institutions du pays où seul, le président est investi des prérogatives de pouvoirs et en use , comme il veut.
Donc, évitons les confusions qui risquent d'altérer des relations excellentes que ces hommes entretiennent avec le président.
Et les milliers d'anonymes, qui eux aussi, ont dû, pour certains, perdre beaucoup plus que ceux, plus visibles à côté du président. Sans eux, l'aventure aurait été vraisemblablement , vouée à l'échec. Ces milliers d’anonymes ont, par leur mobilisation, leur contribution, leur présence et leur affection, permis au président d'être en situation de conquérir le pouvoir.
Diriez-vous, que, eux aussi, sont lâchés par le président. J'en douterai fort vu la confiance sans cesse, renouvelée, à chaque échéance électorale, depuis.
Et mon ami Cissé Lô, malgré les écarts qu’on lui connaît et qui relèvent de sa nature, on ne peut jeter son bébé avec l’eau du bain. Parce que L'APR est son bébé, qu'il se doit de le défendre chaque fois-ci qu'il estime qu'il est dévié de son cours normal. Et il le fait selon son tempérament. La colère momentanée qui l’a habité, a dû justifier ce jusqu'au-boutisme. Le connaissant bien, nous saurons l'emmener à reconsidérer cette décision.
La cohésion du noyau originel est intacte. Chacun là où il est, joue merveilleusement sa partition et permet la symbiose de la musique.
Abdou Mbow est parfaitement dans son rôle à l'assemblée. Y a-t-il une honte à être vice-président de l'assemblée nationale. S'est-on interrogé sur ses préférences qui ont pu le conduire à choisir un destin parlementaire. Est-il déshonorant?
Le reste des amis, cités, hormis ABC, sont dans la sphère présidentielle, donc dans la décision. Chacun y joue un rôle qui éclaire le chemin au président et l'aide à la décision et continue d'être le moteur de son appareil politique.
ABC, lui, dont le rôle à côté du président durant la marche vers le pouvoir a été salué par tous, a connu une situation tumultueuse dans ses relations avec lui, quelques temps après son accession au pouvoir qu'eux seuls, en connaissent les raisons. Alors, respectons leurs silences . Il est louable que le président, malgré, cette situation l'ait responsabilisé. Il a dû certainement, penser à hier.
Permettez-moi pour terminer, d'indiquer que la dénomination de notre parti a une histoire qui ne saurait le rattacher à un homme. C'est les circonstances politiques de sa naissance et la nécessité d'une formalisation organisationnelle du combat incarné par , celui, qui allait en devenir le président en défense de la République et de ses institutions, qui en sont à la base.
Et non la Numérologie !
Ce n'est pas pour entretenir une polémique avec certains, mais juste pour contribuer à une meilleure connaissance de l'histoire de notre parti et de certains de ses membres fondateurs.
Amicalement,
Mahmoud Saleh
En gros, aucune reconnaissance en direction de ceux-là, qui sont présentés comme ayant tout sacrifié pour l'accompagner. Et allez jusqu'à assigner un rôle particulier à mon frère et ami ABC dans la création de L'APR et même du choix de son appellation. Rôle que ABC n'a jamais revendiqué, et pour cause. Lui, il sait quelle appellation, il avait proposée.
Pour les autres cités , il est indéniable que leurs rôles au côté du président aura été pour beaucoup dans la conquête du pouvoir et leurs rôles, encore, aujourd'hui, à côté du président, chacun dans la posture où il est , contribue à la gouvernance du pays et à la consolidation des acquis politiques et organisationnels. Ils ne sont en rien en dehors de la décision.
On feint d'oublier que la présence autour de la table du Conseil des ministres, n'est pas forcément synonyme de détention de pouvoirs. Sinon, c'est méconnaître la nature des institutions du pays où seul, le président est investi des prérogatives de pouvoirs et en use , comme il veut.
Donc, évitons les confusions qui risquent d'altérer des relations excellentes que ces hommes entretiennent avec le président.
Et les milliers d'anonymes, qui eux aussi, ont dû, pour certains, perdre beaucoup plus que ceux, plus visibles à côté du président. Sans eux, l'aventure aurait été vraisemblablement , vouée à l'échec. Ces milliers d’anonymes ont, par leur mobilisation, leur contribution, leur présence et leur affection, permis au président d'être en situation de conquérir le pouvoir.
Diriez-vous, que, eux aussi, sont lâchés par le président. J'en douterai fort vu la confiance sans cesse, renouvelée, à chaque échéance électorale, depuis.
Et mon ami Cissé Lô, malgré les écarts qu’on lui connaît et qui relèvent de sa nature, on ne peut jeter son bébé avec l’eau du bain. Parce que L'APR est son bébé, qu'il se doit de le défendre chaque fois-ci qu'il estime qu'il est dévié de son cours normal. Et il le fait selon son tempérament. La colère momentanée qui l’a habité, a dû justifier ce jusqu'au-boutisme. Le connaissant bien, nous saurons l'emmener à reconsidérer cette décision.
La cohésion du noyau originel est intacte. Chacun là où il est, joue merveilleusement sa partition et permet la symbiose de la musique.
Abdou Mbow est parfaitement dans son rôle à l'assemblée. Y a-t-il une honte à être vice-président de l'assemblée nationale. S'est-on interrogé sur ses préférences qui ont pu le conduire à choisir un destin parlementaire. Est-il déshonorant?
Le reste des amis, cités, hormis ABC, sont dans la sphère présidentielle, donc dans la décision. Chacun y joue un rôle qui éclaire le chemin au président et l'aide à la décision et continue d'être le moteur de son appareil politique.
ABC, lui, dont le rôle à côté du président durant la marche vers le pouvoir a été salué par tous, a connu une situation tumultueuse dans ses relations avec lui, quelques temps après son accession au pouvoir qu'eux seuls, en connaissent les raisons. Alors, respectons leurs silences . Il est louable que le président, malgré, cette situation l'ait responsabilisé. Il a dû certainement, penser à hier.
Permettez-moi pour terminer, d'indiquer que la dénomination de notre parti a une histoire qui ne saurait le rattacher à un homme. C'est les circonstances politiques de sa naissance et la nécessité d'une formalisation organisationnelle du combat incarné par , celui, qui allait en devenir le président en défense de la République et de ses institutions, qui en sont à la base.
Et non la Numérologie !
Ce n'est pas pour entretenir une polémique avec certains, mais juste pour contribuer à une meilleure connaissance de l'histoire de notre parti et de certains de ses membres fondateurs.
Amicalement,
Mahmoud Saleh