Répondant aux différentes interpellations, le ministre des finances a rappelé l'historique de l'utilisation du budget. En effet, l'État recrute et rémunère les gens. La masse salariale a une dimension économique mais également, il faut savoir selon Mamadou Moustapha Bâ, « les agents de l'État sont dans la vie de tous les jours. Mieux, ils sont payés, plus ils épargnent, plus ils se lancent dans des projets. D'ailleurs, c'est une bonne nouvelle pour nos pays, artisans, ouvriers, banques, etc… », a précisé le ministre dont les propos sont rapportés par nos confrères de Dakaractu.
En sus, ces agents économiques en travaillant, contribuent à la croissance. A ce niveau, il faut considérer que la masse salariale est bien notée. « C'est un point de vigilance de notre politique budgétaire. Nous versons chaque mois plus de 104 milliards avec les collectivités, c'est plus de 120 milliards ». In fine, le ministre rappelle que c'est le sénégalais lamba qui en bénéficie. En d'autres termes, les plus de 17 millions de citoyens.
En effet, le budget de l'État n'est pas juste un empilement de chiffres selon Mamadou Moustapha Bâ, mais le présent et l'avenir. « Je reviens sur les sommes importantes que vous avez soulignées à travers plusieurs mois de finance depuis 2012. De 2012 à 2022 le montant cumulé des lois de finances est de plus de 39.000 milliards. En 12 ans , l'argent a servi à payer les salaires pour 177.237 agents pour plus de 7 milliards. Pour la santé, pour plus de 10.000 milliards. Ce montant aussi englobe la subvention au monde rural pour plus de 567 milliards, mais également les denrées alimentaires pour 164,100 milliards de francs CFA. Cette manne financière a aussi permis de répondre aux besoins de bourses de sécurité familiale », a expliqué le ministre des finances.
En définitive, le sénégalais en a eu pour son argent d'après le ministre. Concernant les investissements réalisés en 2012, il s'agit de l'énergie : Taux d'électrification rurale, de 1660…. à 6000 villages en 2023, 1787 MW installés à nos jours, les infrastructures. Et c'est à ce niveau, estime le ministre, que notre pays a atteint des proportions spectaculaires: « 2918km de route réalisées, 189 km d'autoroutes avec l'autoroute Ila Touba qui a coûté plus de 400 milliards…23 ponts ».
« Nous avons des résultats sur le plan physique qui justifie les budgets qui sont votés au Sénégal depuis 2012. De la même manière, le ministre revient sur les subventions dans le domaine alimentaire. Cela prouve que l'État subventionne l'énergie, l'électricité, le carburant et les denrées de premières nécessité » s'est réjoui le ministre des finances et du budget.
Ce qu'il faut retenir aussi, « c'est que ce projet de loi de finance 2024, aura à prendre en charge 602,7 milliards de subventions qui sont prévus ( intrants agricoles, la gratuité dans le domaine de la santé… ). « Nous sommes heureux de constater que c'est un budget 2024, au total de 7003, 6 milliards que le Président Macky Sall laissera à son successeur », magnifie le ministre en considérant que « le Sénégal s'inscrit dans la voie de la souveraineté budgétaire ».
En sus, ces agents économiques en travaillant, contribuent à la croissance. A ce niveau, il faut considérer que la masse salariale est bien notée. « C'est un point de vigilance de notre politique budgétaire. Nous versons chaque mois plus de 104 milliards avec les collectivités, c'est plus de 120 milliards ». In fine, le ministre rappelle que c'est le sénégalais lamba qui en bénéficie. En d'autres termes, les plus de 17 millions de citoyens.
En effet, le budget de l'État n'est pas juste un empilement de chiffres selon Mamadou Moustapha Bâ, mais le présent et l'avenir. « Je reviens sur les sommes importantes que vous avez soulignées à travers plusieurs mois de finance depuis 2012. De 2012 à 2022 le montant cumulé des lois de finances est de plus de 39.000 milliards. En 12 ans , l'argent a servi à payer les salaires pour 177.237 agents pour plus de 7 milliards. Pour la santé, pour plus de 10.000 milliards. Ce montant aussi englobe la subvention au monde rural pour plus de 567 milliards, mais également les denrées alimentaires pour 164,100 milliards de francs CFA. Cette manne financière a aussi permis de répondre aux besoins de bourses de sécurité familiale », a expliqué le ministre des finances.
En définitive, le sénégalais en a eu pour son argent d'après le ministre. Concernant les investissements réalisés en 2012, il s'agit de l'énergie : Taux d'électrification rurale, de 1660…. à 6000 villages en 2023, 1787 MW installés à nos jours, les infrastructures. Et c'est à ce niveau, estime le ministre, que notre pays a atteint des proportions spectaculaires: « 2918km de route réalisées, 189 km d'autoroutes avec l'autoroute Ila Touba qui a coûté plus de 400 milliards…23 ponts ».
« Nous avons des résultats sur le plan physique qui justifie les budgets qui sont votés au Sénégal depuis 2012. De la même manière, le ministre revient sur les subventions dans le domaine alimentaire. Cela prouve que l'État subventionne l'énergie, l'électricité, le carburant et les denrées de premières nécessité » s'est réjoui le ministre des finances et du budget.
Ce qu'il faut retenir aussi, « c'est que ce projet de loi de finance 2024, aura à prendre en charge 602,7 milliards de subventions qui sont prévus ( intrants agricoles, la gratuité dans le domaine de la santé… ). « Nous sommes heureux de constater que c'est un budget 2024, au total de 7003, 6 milliards que le Président Macky Sall laissera à son successeur », magnifie le ministre en considérant que « le Sénégal s'inscrit dans la voie de la souveraineté budgétaire ».