Pour l’Unsas, cette hausse annoncée fait suite aux injonctions du Fmi de supprimer des subventions sur le prix du gaz butane, de l’électricité et sur les denrées de première nécessité.
Mademba Sock et ses camarades avaient vu venir. Car, font-ils observer : " Le gouvernement avait annoncé la couleur dés le début du mois de novembre 2008 dans le cadre de l’examen de la loi des finances 2009. Dans un souci d’équilibre budgétaire et de cadrage macro économique, il veut faire porter le chapeau des déficits et des dépassements budgétaires aux goorgoorlu sénégalais, c’est inacceptable !".
Ils soutiennent qu’ils avaient tiré la sonnette d’alarme "en mesurant toutes les conséquences et les effets nocifs que de telles mesures pourraient entrainer et affecter les conditions de vie des populations, freiner la productivité des entreprises et précariser l’emploi dans notre pays."
Pour l’Unsas, "il est indéniable de penser qu’à travers ces mesures, le gouvernement ne cherche qu’à renflouer ses caisses en utilisant la surtaxe sur les produits pétroliers pour l’affecter dans d’autres secteurs qui répondent à des préoccupations contraires aux exigences du développement."
L’Unsas associe à son appel à la mobilisation générale tous les segments sociaux (syndicats, associations consuméristes et de défense des droits de l’homme, etc.).
Tous doivent dans un même élan unitaire "freiner les folies meurtrières du gouvernement qui dans le souci de maintenir son train de vie dispendieux vient de faire voter une loi mettant fin aux coupures opérées sur les salaires des ministres, députés, sénateurs et autres nantis du régime. C’est significatif, si nous mettons tous ces faits dans une même logique", estime la centrale syndicale que dirige Mademba Sock.
C’est pourquoi, l’Unsas demande à ses responsables des unions départementales de prendre contact avec les autres démembrements des centrales syndicales pour la mise en œuvre du plan d’action qu’elle entend dérouler face aux hausses annoncées par le gouvernement.
- Par Mayaram -
Mademba Sock et ses camarades avaient vu venir. Car, font-ils observer : " Le gouvernement avait annoncé la couleur dés le début du mois de novembre 2008 dans le cadre de l’examen de la loi des finances 2009. Dans un souci d’équilibre budgétaire et de cadrage macro économique, il veut faire porter le chapeau des déficits et des dépassements budgétaires aux goorgoorlu sénégalais, c’est inacceptable !".
Ils soutiennent qu’ils avaient tiré la sonnette d’alarme "en mesurant toutes les conséquences et les effets nocifs que de telles mesures pourraient entrainer et affecter les conditions de vie des populations, freiner la productivité des entreprises et précariser l’emploi dans notre pays."
Pour l’Unsas, "il est indéniable de penser qu’à travers ces mesures, le gouvernement ne cherche qu’à renflouer ses caisses en utilisant la surtaxe sur les produits pétroliers pour l’affecter dans d’autres secteurs qui répondent à des préoccupations contraires aux exigences du développement."
L’Unsas associe à son appel à la mobilisation générale tous les segments sociaux (syndicats, associations consuméristes et de défense des droits de l’homme, etc.).
Tous doivent dans un même élan unitaire "freiner les folies meurtrières du gouvernement qui dans le souci de maintenir son train de vie dispendieux vient de faire voter une loi mettant fin aux coupures opérées sur les salaires des ministres, députés, sénateurs et autres nantis du régime. C’est significatif, si nous mettons tous ces faits dans une même logique", estime la centrale syndicale que dirige Mademba Sock.
C’est pourquoi, l’Unsas demande à ses responsables des unions départementales de prendre contact avec les autres démembrements des centrales syndicales pour la mise en œuvre du plan d’action qu’elle entend dérouler face aux hausses annoncées par le gouvernement.
- Par Mayaram -