C’est à l’âge de 40 ans, un âge prophétique que Cheikh Modou Moustapha Mbacké a endossé sur ses larges épaules le legs du mouridisme, une tâche énorme. Mais le premier khalife des mourides était bien préparé par son vénéré père, Cheikh Ahmadou Bamba. Le saint homme reprend alors le flambeau pour encore illuminer la voix du mouridisme.
Et pourtant, c’est dans un contexte difficile que Cheikh Modou Moustapha Mbacké succède à son père. Nous sommes en 1927, c’est-àdire à l’aube de l’éclatement de la crise économique des années 30. Cheikh Modou Moustapha résiste et préserve non seulement le legs de Bamba, mais il a surtout entamé la construction de la grande mosquée de Touba.
Diplomate convaincu, leader modèle, c’est lui qui réussit à avoir raison sur les Blancs. Ces derniers avaient retiré à Cheikhoul Khadim l’autorisation de construire la grande mosquée de Touba en 1925. Il finance sur fonds propres le tronçon du chemin de fer Diourbel-Touba Il engage le combat juridique.
Il finit par gagner le procès, épaulé par Blaise Diagne, Me Lamine Guéye mais aussi El Hadji Massouran Sourang. Une victoire importante de la communauté mouride sur les autorités coloniales, mais pas seulement. Cheikh Modou Moustapha, parvient à réaliser le vœu de son père grâce aux fidèles mourides. Il finance sur fonds propres la construction du tronçon du chemin de fer Diourbel-Touba. Le travail à la chaine se met en place, le culte du travail des mourides se dévoile le 4 mars 1932
Il pose la première pierre de la grande mosquée de Touba
Le fils ainé de Cheikh Ahmadou Bamba pose la première prière de la mosquée de Touba. Il a alors accompli la volonté de son père. Cheikh Modou Moustapha Mbacké était un homme de droiture, doté d’une culture hors norme.
On peut dire que sa vie se résumait à trois éléments essentiels : travail, prière et formation. Sa formation religieuse commence auprès de son père. Cheikh Modou Moustapha apprend aussi le coran chez Mame Thierno Birahim Mbacké pendant 7 ans. C’est en 1902 qu’il part à Khomack rejoindre Cheikh Ahmadou Bamba.
Son vénéré père était également son idole et son guide. C’est Cheikh Modou Moustapha qui a soustrait le corps de son père de la résidence surveillée pour le loger à Touba. L’unificateur a installé le mouridisme sur de nouvelles bases, le fondement de la réussite de la communauté mouride. Il disparait le 13 juillet 1945.
Bes Bi
Et pourtant, c’est dans un contexte difficile que Cheikh Modou Moustapha Mbacké succède à son père. Nous sommes en 1927, c’est-àdire à l’aube de l’éclatement de la crise économique des années 30. Cheikh Modou Moustapha résiste et préserve non seulement le legs de Bamba, mais il a surtout entamé la construction de la grande mosquée de Touba.
Diplomate convaincu, leader modèle, c’est lui qui réussit à avoir raison sur les Blancs. Ces derniers avaient retiré à Cheikhoul Khadim l’autorisation de construire la grande mosquée de Touba en 1925. Il finance sur fonds propres le tronçon du chemin de fer Diourbel-Touba Il engage le combat juridique.
Il finit par gagner le procès, épaulé par Blaise Diagne, Me Lamine Guéye mais aussi El Hadji Massouran Sourang. Une victoire importante de la communauté mouride sur les autorités coloniales, mais pas seulement. Cheikh Modou Moustapha, parvient à réaliser le vœu de son père grâce aux fidèles mourides. Il finance sur fonds propres la construction du tronçon du chemin de fer Diourbel-Touba. Le travail à la chaine se met en place, le culte du travail des mourides se dévoile le 4 mars 1932
Il pose la première pierre de la grande mosquée de Touba
Le fils ainé de Cheikh Ahmadou Bamba pose la première prière de la mosquée de Touba. Il a alors accompli la volonté de son père. Cheikh Modou Moustapha Mbacké était un homme de droiture, doté d’une culture hors norme.
On peut dire que sa vie se résumait à trois éléments essentiels : travail, prière et formation. Sa formation religieuse commence auprès de son père. Cheikh Modou Moustapha apprend aussi le coran chez Mame Thierno Birahim Mbacké pendant 7 ans. C’est en 1902 qu’il part à Khomack rejoindre Cheikh Ahmadou Bamba.
Son vénéré père était également son idole et son guide. C’est Cheikh Modou Moustapha qui a soustrait le corps de son père de la résidence surveillée pour le loger à Touba. L’unificateur a installé le mouridisme sur de nouvelles bases, le fondement de la réussite de la communauté mouride. Il disparait le 13 juillet 1945.
Bes Bi