Trouvé à l’intérieur de sa place, ses livres bien achalandés, Mor Kâ, même s’il nie pas l’existence de la Covid-19, estime qu’il n’a nullement influencé son commerce. « Nous remercions Dieu. Nous ne disons pas qu’il n’y a pas de pandémie. Mais, elle ne nous empêche pas de travailler comme il se devait. Personnellement, j’avais peur au début. Mais après je me suis dit qu’avec la grâce de Serigne Touba, nous allons nous en sortir », a-t-il fait savoir.
Le prix de ses livres varie entre 1000 et 2500 FCfa. Mais, Mor ne s’en plaint pas. À l’en croire, il est en train de réaliser un très bon chiffre d’affaires. Mor pense même réaliser un record de vente cette année.
Existence de la Covid, mais...
À proximité de sa table, sur l’autre côté de la chaussée, Serigne Maye Dieng s’est trouvé une place. Sa marchandise étalée à même le sol, Dieng aussi ne se sent pas lésé par la pandémie. Pour lui, la Covid-19 a plutôt impacté positivement son commerce. « Je vends toutes sortes d’encens. Je ne nie pas la pandémie. Mais franchement, je n’ai pas encore senti son impact sur mon business », a-t-il témoigné.
À Touba, le Grand Magal sera célébré comme à l’accoutumée. À quelques heures de la commémoration de la 126e édition, la ville bat son plein. Les fidèles mourides continuent à converger dans la cité religieuse. Selon Serigne Mbaye Dieng, cette affluence est bénéfique pour eux qui s’activent dans le petit commerce. « Les clients viennent régulièrement. Nous avons aussi constaté que les pèlerins sont venus tôt cette année. Cela nous permet de réaliser de bons chiffres d’affaires durant le Magal », fait remarquer Dieng.
Le prix de ses livres varie entre 1000 et 2500 FCfa. Mais, Mor ne s’en plaint pas. À l’en croire, il est en train de réaliser un très bon chiffre d’affaires. Mor pense même réaliser un record de vente cette année.
Existence de la Covid, mais...
À proximité de sa table, sur l’autre côté de la chaussée, Serigne Maye Dieng s’est trouvé une place. Sa marchandise étalée à même le sol, Dieng aussi ne se sent pas lésé par la pandémie. Pour lui, la Covid-19 a plutôt impacté positivement son commerce. « Je vends toutes sortes d’encens. Je ne nie pas la pandémie. Mais franchement, je n’ai pas encore senti son impact sur mon business », a-t-il témoigné.
À Touba, le Grand Magal sera célébré comme à l’accoutumée. À quelques heures de la commémoration de la 126e édition, la ville bat son plein. Les fidèles mourides continuent à converger dans la cité religieuse. Selon Serigne Mbaye Dieng, cette affluence est bénéfique pour eux qui s’activent dans le petit commerce. « Les clients viennent régulièrement. Nous avons aussi constaté que les pèlerins sont venus tôt cette année. Cela nous permet de réaliser de bons chiffres d’affaires durant le Magal », fait remarquer Dieng.