En prélude à sa Déclaration de politique générale, le Premier ministre Mahammad Boun Abdallah Dionne, a rencontré, hier à Dakar, les acteurs du monde rural évoluant dans l’agriculture, l’élevage, la pêche et la foresterie. A l’entame de son propos, il a rappelé que le but de cette rencontre était d’abord d’écouter ces acteurs pours mieux s’imprégner de leur engagement autour du Plan Sénégal émergent (Pse).
« Nous souhaitons faire de vous les acteurs de premier plan dans la réalisation du Pse », a-t-il lancé aux acteurs du monde rural.
Mahammad Boun Abdallah Dionne a aussi souligné que les trois objectifs stratégiques visés dans le secteur de l’agriculture sont : la sécurité alimentaire, la transformation structurelle de l’économie rurale et la création massive d’emplois et, par conséquent, de revenus.
« En ce qui concerne la sécurité alimentaire, elle signifie augmenter quantitativement et qualitativement tous les rendements du secteur pour produire au maximum ce que nous consommons et même assurer l’autosuffisance pour le mil, le riz, le sorgho, le mouton de Tabaski, etc. Pour les autres produits de consommation, nous nous efforcerons de les rendre disponibles au meilleur prix et de faire en sorte que les Sénégalais aient des revenus pour se les procurer », a-t-il expliqué.
En ce qui concerne la transformation de l’économie rurale, « cela signifie pour nous, d’abord, moderniser les unités de production du secteur pour augmenter leur productivité, ensuite, favoriser l’utilisation, par l’industrie, des produits de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et de la foresterie et, enfin, il nous faut ouvrir prudemment le secteur à l’investissement privé tout en sauvegardant les intérêts des petits exploitants agricoles, des petits éleveurs et des pêcheurs artisanaux ».
Une des conséquences attendues de ce pro- gramme « est que l’économie rurale, avec tous les programmes d’infra- structures en cours, va attirer, cette fois, un exode urbain, c'est-à-dire un retour à la terre », espère le Premier ministre.
Pour Mahammad Boun Abdallah Dionne, les sous-secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche ont le potentiel le plus important en création d’emplois.
« C’est pourquoi, dit-il, les projets du Pse, dans ce secteur, en attirant davantage d’investisseurs, vont créer beaucoup d’emplois et plus de revenus pour les acteurs du monde rural ».
Dans leurs différentes interventions, les acteurs du monde rural ont livré au chef du gouvernement une cartographie des problèmes auxquels sont confrontés les différents sous-secteurs. Ce à quoi les ministres concernés ont apporté des éclairages et des précisions.
A l’issue des débats, le Premier ministre note, avec satisfaction, l’engagement du monde rural à s’impliquer dans la réalisation du Pse.
Le Soleil
« Nous souhaitons faire de vous les acteurs de premier plan dans la réalisation du Pse », a-t-il lancé aux acteurs du monde rural.
Mahammad Boun Abdallah Dionne a aussi souligné que les trois objectifs stratégiques visés dans le secteur de l’agriculture sont : la sécurité alimentaire, la transformation structurelle de l’économie rurale et la création massive d’emplois et, par conséquent, de revenus.
« En ce qui concerne la sécurité alimentaire, elle signifie augmenter quantitativement et qualitativement tous les rendements du secteur pour produire au maximum ce que nous consommons et même assurer l’autosuffisance pour le mil, le riz, le sorgho, le mouton de Tabaski, etc. Pour les autres produits de consommation, nous nous efforcerons de les rendre disponibles au meilleur prix et de faire en sorte que les Sénégalais aient des revenus pour se les procurer », a-t-il expliqué.
En ce qui concerne la transformation de l’économie rurale, « cela signifie pour nous, d’abord, moderniser les unités de production du secteur pour augmenter leur productivité, ensuite, favoriser l’utilisation, par l’industrie, des produits de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et de la foresterie et, enfin, il nous faut ouvrir prudemment le secteur à l’investissement privé tout en sauvegardant les intérêts des petits exploitants agricoles, des petits éleveurs et des pêcheurs artisanaux ».
Une des conséquences attendues de ce pro- gramme « est que l’économie rurale, avec tous les programmes d’infra- structures en cours, va attirer, cette fois, un exode urbain, c'est-à-dire un retour à la terre », espère le Premier ministre.
Pour Mahammad Boun Abdallah Dionne, les sous-secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche ont le potentiel le plus important en création d’emplois.
« C’est pourquoi, dit-il, les projets du Pse, dans ce secteur, en attirant davantage d’investisseurs, vont créer beaucoup d’emplois et plus de revenus pour les acteurs du monde rural ».
Dans leurs différentes interventions, les acteurs du monde rural ont livré au chef du gouvernement une cartographie des problèmes auxquels sont confrontés les différents sous-secteurs. Ce à quoi les ministres concernés ont apporté des éclairages et des précisions.
A l’issue des débats, le Premier ministre note, avec satisfaction, l’engagement du monde rural à s’impliquer dans la réalisation du Pse.
Le Soleil