"Le Premier ministre et les ministres ne travaillent pas dans le néant. Tout est encadré. S’il y a une commission parlementaire, si le Parlement souhaite nous entendre, nous sommes prêts. Il n’y aucun problème. Je ne suis ni favorable ni contre une enquête parlementaire. Je ne suis pas député, c’est aux députés de prendre leurs décisions."
Employabilité des jeunes : « J’ai fait le tour du Sénégal durant les Législatives. Parce que j’ai eu l’honneur de diriger la liste de Benno Bokk Yakaar. Le Sénégalais est travailleur. J’ai vu un peuple déterminé, un peuple constant qui vit des résultats de la croissance (7,2%). Si on met 115 milliards FCfa pour la ruralité, c’est parce que nous faisons de la croissance.
Sur l’emploi, les statistiques officielles du ministère du Travail, de janvier 2012, jusqu’en fin 2016, montrent que 336 000 emplois formels ont été créés par le secteur privé et l’administration depuis l’accession au pouvoir du Président Sall, même si ce dernier en avait promis 500.000. Ce n’est pas le chiffre qui est important, mais le revenu. Nous avons chaque année, 250.000 jeunes qui arrivent sur le marché du travail et le chef de l’Etat a instruit le Gouvernement de travailler avec le secteur privé, pour voir pourquoi ces jeunes n’arrivent pas à s’insérer. Depuis 2 ans, nous travaillons ensemble et nous sommes rendu compte que sur 250 000 qui arrivent sur le marché de l’emploi, seuls 6% ont une qualification."
L'Observateur
Employabilité des jeunes : « J’ai fait le tour du Sénégal durant les Législatives. Parce que j’ai eu l’honneur de diriger la liste de Benno Bokk Yakaar. Le Sénégalais est travailleur. J’ai vu un peuple déterminé, un peuple constant qui vit des résultats de la croissance (7,2%). Si on met 115 milliards FCfa pour la ruralité, c’est parce que nous faisons de la croissance.
Sur l’emploi, les statistiques officielles du ministère du Travail, de janvier 2012, jusqu’en fin 2016, montrent que 336 000 emplois formels ont été créés par le secteur privé et l’administration depuis l’accession au pouvoir du Président Sall, même si ce dernier en avait promis 500.000. Ce n’est pas le chiffre qui est important, mais le revenu. Nous avons chaque année, 250.000 jeunes qui arrivent sur le marché du travail et le chef de l’Etat a instruit le Gouvernement de travailler avec le secteur privé, pour voir pourquoi ces jeunes n’arrivent pas à s’insérer. Depuis 2 ans, nous travaillons ensemble et nous sommes rendu compte que sur 250 000 qui arrivent sur le marché de l’emploi, seuls 6% ont une qualification."
L'Observateur