Le parti dirigé par Amath Dansokho demande au gouvernement libéral de réduire le train de vie de l’Etat pour y parvenir. Le Pit dit dans la foulée rejeter « fermement la suppression des subventions et la vente des actions de l’Etat dans la Sonatel ».
A en croire le PIT, « Wade compte aussi profiter du contexte pour vendre les actions que l’Etat détient à la Sonatel pour 500 milliards, dans une opération à laquelle les Institutions de Bretton Woods cette fois-ci, l’Intersyndicale des travailleurs de la Sonatel et l’opinion se sont publiquement opposées. Le pouvoir prétend que cette opération est nécessaire pour financer les dépenses de 450 milliards non prévues par le budget. Mais c’est là une « solution » à courte vue dont le pouvoir ne mesure pas les graves conséquences pour le présent et pour le futur ». Les communistes sénégalais qui mettent cette volonté du pouvoir sur le compte d’un « bradage systématique du patrimoine de l’Etat par le régime de Wade », estiment que cela peut non seulement, « dans l’immédiat, compromettre le règlement des pensions de retraites, mais aussi pour le futur, hypothéquer l’avenir des jeunes générations futures, (qui) à ce rythme, ne trouveront rien à hériter ».
En tous les cas, les cocos invitent les Sénégalais à « s’y opposer résolument ». Ils pensent que la réduction du train de vie de l’Etat « en proportion du préjudice porté aux finances publiques, et la restitution de tous les deniers publics planqués dans les Banques des pays développés, sont les seuls moyens que le peuple peut accepter, pour le payement de la dette publique et pour le soutient, à des niveaux convenables, des prix à la consommation, et des coûts des facteurs techniques de production pour rendre les entreprises plus compétitives ».
Amath Dansokho et ses camarades demandent en outre à la Banque Mondiale, la mise en œuvre du mécanisme de « restitution des deniers publics planqués à l’étranger », ou « Stolen Assets Recovry » ( STAR) qu’elle a mis en place avec l’ONU depuis un an. Pour eux, « c’est le seul moyen pour la Banque d’éviter de passer pour une complices de ces opérations de haute voltige de « blanchiment d’argent sale » dans notre pays. Il y va aussi de la crédibilité des Institutions de Bretton Woods, quant à leur engagement pour l’avènement des « pratiques de bonne gouvernance » dans notre pays. »
A en croire le PIT, « Wade compte aussi profiter du contexte pour vendre les actions que l’Etat détient à la Sonatel pour 500 milliards, dans une opération à laquelle les Institutions de Bretton Woods cette fois-ci, l’Intersyndicale des travailleurs de la Sonatel et l’opinion se sont publiquement opposées. Le pouvoir prétend que cette opération est nécessaire pour financer les dépenses de 450 milliards non prévues par le budget. Mais c’est là une « solution » à courte vue dont le pouvoir ne mesure pas les graves conséquences pour le présent et pour le futur ». Les communistes sénégalais qui mettent cette volonté du pouvoir sur le compte d’un « bradage systématique du patrimoine de l’Etat par le régime de Wade », estiment que cela peut non seulement, « dans l’immédiat, compromettre le règlement des pensions de retraites, mais aussi pour le futur, hypothéquer l’avenir des jeunes générations futures, (qui) à ce rythme, ne trouveront rien à hériter ».
En tous les cas, les cocos invitent les Sénégalais à « s’y opposer résolument ». Ils pensent que la réduction du train de vie de l’Etat « en proportion du préjudice porté aux finances publiques, et la restitution de tous les deniers publics planqués dans les Banques des pays développés, sont les seuls moyens que le peuple peut accepter, pour le payement de la dette publique et pour le soutient, à des niveaux convenables, des prix à la consommation, et des coûts des facteurs techniques de production pour rendre les entreprises plus compétitives ».
Amath Dansokho et ses camarades demandent en outre à la Banque Mondiale, la mise en œuvre du mécanisme de « restitution des deniers publics planqués à l’étranger », ou « Stolen Assets Recovry » ( STAR) qu’elle a mis en place avec l’ONU depuis un an. Pour eux, « c’est le seul moyen pour la Banque d’éviter de passer pour une complices de ces opérations de haute voltige de « blanchiment d’argent sale » dans notre pays. Il y va aussi de la crédibilité des Institutions de Bretton Woods, quant à leur engagement pour l’avènement des « pratiques de bonne gouvernance » dans notre pays. »