
Une dizaine de candidats se sont déclarés dont le premier adjoint au maire, Yakhoba Diattara. Il est très proche du « chef » dont il assure l’intérim prolongé depuis plusieurs années. A ce titre, Diattara semble avoir pris une avance non négligeable sur ses autres concurrents du fait de sa proximité avec Idrissa Seck. Il fait office d’« héritier naturel ». Néanmoins, il devra faire face à une fronde qui s’organise autour d’Ibrahima Bâ, lui aussi adjoint au maire de Thiès, Maimouna Dieng, maire de Thiès-Ouest, Alassane Ndiaye, maire de Thiès-Nord, et Pape Bassirou Diop, maire de Thiès-Est qui, tous, contestent sa gestion « nébuleuse ».
Dans ce combat, selon EnQuête, le malaise serait si profond que des responsables en veulent à Idrissa Seck qui aurait pris le parti de « favoriser » Diattara à leur détriment. Des accusations rejetées par l’intéressé. M. Diattara a déclaré, d'après une source de nos confrères : « J’ai été audité trois fois en même temps qu’eux (les maires Maimouna Dieng, Alassane Ndiaye, Pape Birame Diop), je n’ai jamais été épinglé. C’est plutôt eux qui ont une gestion malsaine ». « Il est normal qu’ils aient des ambitions politiques, mais je pense que ces renouvellements permettront de clarifier le débat sur la représentativité des uns et des autres et de donner une visibilité sur la configuration politique dans cette localité puisque ce sont les militants qui vont choisir. C’est l’objectif visé par Idrissa Seck », a-t-il répliqué.
Les élections locales de 2014, constituent un enjeu majeur à Thiès. Idrissa Seck, qui a promis de ne pas se représenter tout en dirigeant une liste (Rewmi ou Bby) dans la capitale du Rail, compte surveiller de très près le processus de renouvellement des instances de base locales de son parti. Pour des raisons de transparences, il est exigé, selon EnQuête, aux candidats de venir acheter les cartes au Cybercampus en compagnie de leurs militants. A quelques jours des renouvellements, Rewmi de Thiès a enregistré 45000 cartes placées.
Dans ce combat, selon EnQuête, le malaise serait si profond que des responsables en veulent à Idrissa Seck qui aurait pris le parti de « favoriser » Diattara à leur détriment. Des accusations rejetées par l’intéressé. M. Diattara a déclaré, d'après une source de nos confrères : « J’ai été audité trois fois en même temps qu’eux (les maires Maimouna Dieng, Alassane Ndiaye, Pape Birame Diop), je n’ai jamais été épinglé. C’est plutôt eux qui ont une gestion malsaine ». « Il est normal qu’ils aient des ambitions politiques, mais je pense que ces renouvellements permettront de clarifier le débat sur la représentativité des uns et des autres et de donner une visibilité sur la configuration politique dans cette localité puisque ce sont les militants qui vont choisir. C’est l’objectif visé par Idrissa Seck », a-t-il répliqué.
Les élections locales de 2014, constituent un enjeu majeur à Thiès. Idrissa Seck, qui a promis de ne pas se représenter tout en dirigeant une liste (Rewmi ou Bby) dans la capitale du Rail, compte surveiller de très près le processus de renouvellement des instances de base locales de son parti. Pour des raisons de transparences, il est exigé, selon EnQuête, aux candidats de venir acheter les cartes au Cybercampus en compagnie de leurs militants. A quelques jours des renouvellements, Rewmi de Thiès a enregistré 45000 cartes placées.