Feu Biram Sassoum Sy, interrogé une semaine avant son décès sur l’origine de cet argent déclarait : "Nous n’avons pas investi plus de 500 millions. C’est notre budget, c’est la Médina qui avait financé ça. Nous avons reçu l’aide de personne sauf celui d’un conseiller municipal qui nous a offert un camion".
Seulement cette version est loin de convaincre de nombreux conseillers municipaux, comme El Hadji Malick, qui croit dur comme fer que ce financement provenait du privé. Il a mis au goût du jour le débat et menace de porter plainte contre la mairie. Interrogé par nos confrères, le 4 adjoint au maire, Bamba Fall, qualifient ces accusations de manœuvres politiciennes visant à atteindre sa propre personne. "Moi, je suis un adjoint au maire et non ordonnateur des dépenses. Je n’ai jamais été mandaté par la mairie pour négocier ou recevoir des fonds", clame M. Fall qui rappelle : "Biram Sasoum Sy avait dit qu’on a engagé des travaux d’envergure de plus de 500 millions. On avait précisé que l’argent ne provenait ni de dons venant de l’extérieur ni de l’extérieur, mais de fonds propres. C’est-à-dire des recettes de la cité".
Seulement cette version est loin de convaincre de nombreux conseillers municipaux, comme El Hadji Malick, qui croit dur comme fer que ce financement provenait du privé. Il a mis au goût du jour le débat et menace de porter plainte contre la mairie. Interrogé par nos confrères, le 4 adjoint au maire, Bamba Fall, qualifient ces accusations de manœuvres politiciennes visant à atteindre sa propre personne. "Moi, je suis un adjoint au maire et non ordonnateur des dépenses. Je n’ai jamais été mandaté par la mairie pour négocier ou recevoir des fonds", clame M. Fall qui rappelle : "Biram Sasoum Sy avait dit qu’on a engagé des travaux d’envergure de plus de 500 millions. On avait précisé que l’argent ne provenait ni de dons venant de l’extérieur ni de l’extérieur, mais de fonds propres. C’est-à-dire des recettes de la cité".