Baye Modou Fall est marié et père de famille vivant à Sacré Cœur 3 à Dakar. Précédemment détenu à la cellule 13 appelée « chambre des mineurs », il est dépeint comme un des « dignitaires de la prison ». Ce qui lui faisait bénéficier d’un traitement de faveur qui a toujours suscité la frustration des autres pensionnaires. Et ces avantages et privilèges ont cessé sur dénonciation de certains détenus qui se disaient victimes d ’ « injustices ». L’homme en était à sa deuxième année de détention avant jugement dans cette seconde affaire dont il serait impliqué. Et il en est à sa troisième évasion, après les deux premières survenues à la prison de Ziguinchor et au commissariat central de Dakar. Certaines rumeurs persistantes font état d’une quatrième évasion sans autres précisions.
En prison, Baye Modou est rattrapé par une autre affaire qui le maintient toujours en détention. Sa condamnation d’un an dans le cadre d’une affaire d’argent a pris fin. Mais, il est resté derrière les barreaux ; cela, à cause « d’une dénonciation d’un détenu qui l’a impliqué dans une association de malfaiteurs », soutient-on. Pourtant, il allait recouvrer la liberté à la suite de son transfèrement à la Maison d’arrêt et de correction de Diourbel, sur sa demande. C’était pour y purger le reste de sa peine, après 11 mois de détention à Rebeuss. Voilà qu’ « à un mois de son élargissement, il sera victime d’une dénonciation qui a allongé son séjour carcéral », informe une source de Walf. C’est à travers une lettre d’information adressée au juge qu’il a été mouillé dans cette autre affaire. Et il attend, de cette manière, son procès.
Pour rappel, l’évasion a eu lieu dans la nuit du 03 au 04 décembre et ce n’est que durant la matinée du vendredi que son absence a été constatée par les surveillants de prison préposés au contrôle, lors du rappel matinal de routine des détenus. Selon toujours les sources du journal, « le prévenu évadé était en isolement au moment de son évasion. Il était puni par l’administration pénitentiaire qui avait découvert, sur lui, un téléphone portable, alors que l’usage de celui-ci est formellement interdit en milieu carcéral ».
Trois versions aussi invraisemblables les unes que les autres circulent au sujet de cette évasion. « Le surveillant de prison en faction avait oublié de fermer la porte à clef », « le détenu fugitif s’est servi d’une corde pour échapper à la surveillance des matons », « il y a une complicité avérée ayant rendu possible son évasion ».
En prison, Baye Modou est rattrapé par une autre affaire qui le maintient toujours en détention. Sa condamnation d’un an dans le cadre d’une affaire d’argent a pris fin. Mais, il est resté derrière les barreaux ; cela, à cause « d’une dénonciation d’un détenu qui l’a impliqué dans une association de malfaiteurs », soutient-on. Pourtant, il allait recouvrer la liberté à la suite de son transfèrement à la Maison d’arrêt et de correction de Diourbel, sur sa demande. C’était pour y purger le reste de sa peine, après 11 mois de détention à Rebeuss. Voilà qu’ « à un mois de son élargissement, il sera victime d’une dénonciation qui a allongé son séjour carcéral », informe une source de Walf. C’est à travers une lettre d’information adressée au juge qu’il a été mouillé dans cette autre affaire. Et il attend, de cette manière, son procès.
Pour rappel, l’évasion a eu lieu dans la nuit du 03 au 04 décembre et ce n’est que durant la matinée du vendredi que son absence a été constatée par les surveillants de prison préposés au contrôle, lors du rappel matinal de routine des détenus. Selon toujours les sources du journal, « le prévenu évadé était en isolement au moment de son évasion. Il était puni par l’administration pénitentiaire qui avait découvert, sur lui, un téléphone portable, alors que l’usage de celui-ci est formellement interdit en milieu carcéral ».
Trois versions aussi invraisemblables les unes que les autres circulent au sujet de cette évasion. « Le surveillant de prison en faction avait oublié de fermer la porte à clef », « le détenu fugitif s’est servi d’une corde pour échapper à la surveillance des matons », « il y a une complicité avérée ayant rendu possible son évasion ».