La SAFRU va aider l'État dans sa politique de logements sociaux...avec 12 millions seulement, on pourra avoir un logement
Selon l'ANDS, le Sénégal compte environ 10 hectares de bidonvilles, a déclaré Maïssa Mahécor Diouf, DG de la nouvelle entité de l'État, chargée d'aménager le foncier mais aussi de rénover les zones urbaines, la Société d'Aménagement Foncier et de Rénovation Urbaine (SAFRU SA).
Une situation qui a poussé le président de la République Macky Sall, dans son programme Zéro bidonvilles ( PROZEBID), à mettre sur pied toutes les stratégies politiques capables de mettre en terme à ce déséquilibre urbain, d'où la création de cette nouvelle société qui va aider l'État dans sa politique de logements sociaux, à l'instar de l'initiative des 100.000 logements, à assurer les travaux d'aménagement afin que l'accessibilité soit une réalité pour toutes les couches sociales, estime-t-il.
Normalement, si une société veut aménager un foncier avant d'y construire des logements destinés à la vente, l'acquéreur va obligatoirement décaisser au minimum, 18 millions FCfa.
Aujourd'hui, grâce à cette politique de logements sociaux, initiée par le Président Macky Sall, on peut avoir un logement à partir de 12 millions FCfa, ce qui est une avancée significative, a expliqué Maïssa Mahécor Diouf, qui fait savoir que pour la phase pilote, c'est 500 hectares qui sont en train d'être aménagés à Daga Kholpa ( dans le département de Rufisque), une zone stratégique qui se trouve entre les deux futurs ports minéraliers de Bargny et de Ndayane et à 3 Km d'AIBD.
La Task Force Républicaine (TFR) n'est pas une entité de substitution...Que Mame Mbaye Niang garde sa sérénité
À l'instar de toutes les initiatives visant à défendre la politique du Chef de l'État, Macky Sall, la Task Force Républicaine a été mise en place pour vulgariser les réalisations du président de la République, rétorque Maïssa Mahécor Diouf.
Poursuivant, il déclare que la TFR n'est pas une entité de substitution au gouvernement, qui, à travers sa nouvelle forme de communication avec la presse, donne à la population sénégalaise les bonnes informations. Il invite ainsi le Ministre Chef de Cabinet du président de la République, Mame Mbaye Niang, à garder sa sérénité, estimant qu'il ne voit rien de mal à ce que le Ministre Directeur de Cabinet du président de la République, Mahmoud Saleh, avec d'autres camarades de parti, décident de créer un cadre d'échange pour contrer l'opposition dans sa politique de désinformation.
Si Mimi Touré s'était exprimée sur la question du troisième mandat, alors qu'elle était au cœur du pouvoir, cela aurait été beaucoup plus intéressant mais...
Attendant d'être éjectée du poste de la présidence du CESE pour faire une déclaration sur le troisième mandat, ne me semble pas intéressant, estime le responsable politique de l'APR, Maïssa Mahécor Diouf.
Selon toujours, le DG de la SAFRU, au nom de l'élégance républicaine, elle aurait dû au moins citer le nom du Président Macky Sall dans sa déclaration d'adieu, même si elle ne le remercie pas. Il pense ainsi que si Mimi Touré s'était exprimée sur la question du troisième mandat alors qu'elle était au cœur du pouvoir, cela aurait été beaucoup plus intéressant, mais attendre d'être éjectée pour faire de telles déclarations, est synonyme tout simplement de frustration.
En guise de rappel, il fait savoir que Mme Aminata Touré n'est pas une membre fondatrice de l'APR, elle est venue comme collaboratrice, et a bénéficié de la confiance du Président Macky Sall, mais poursuit-il, elle n'est pas plus méritante que toutes ces femmes qui se sont battues aux côtés du Chef de l'État Macky Sall depuis 2009.
Il faut aller vers la suppression des villes pour créer des grandes métropoles...La stabilité politique n'a pas de prix.
Pour le responsable politique de l'APR, Maïssa Mahécor Diouf, l'aspect politique ne peut être évoqué pour la suppression des villes, notamment celle de Dakar, car, dit-il, si on prend le dernier paramètre électoral, la majorité présidentielle est majoritaire dans la ville de Dakar.
En outre, ajoute-t-il, le monde tend vers la création de grandes métropoles, donc aujourd'hui, à l'instar des autres pays, il faut supprimer les villes pour créer de grandes métropoles. Ainsi, il pense que pour la ville de Dakar, il faut redistribuer la contribution des dakarois qui tourne autour de 100 milliards, aux communes d'arrondissement.
Parlant du dialogue politique, le Directeur de SAFRU SA juge dérisoire le montant dépensé (94,6 millions FCfa) par l'équipe dirigé par Famara Ibrahima Sagna dans la mesure où dit-il, la stabilité politique n'a pas de prix.
Avant l'arrivée du Président Macky Sall, Fatick n'avait que 6 Km de routes... j'ai des ambitions pour la commune de Fatick
L'avènement au pouvoir du Président Macky Sall, a permis à la commune de Fatick de bénéficier de beaucoup d'infrastructures, a fait savoir Maïssa Mahécor Diouf. À titre d'exemples, le responsable politique de Fatick, cite les infrastructures routières qui sont passées de 6 Km à 26 Km, la cité administrative qui accueille les bâtiments de l'État mais aussi l'investissement de 1,6 milliards pour le traitement de l'eau salée.
Pour la conquête de la commune de Fatick, Maïssa Mahécor Diouf décline ses ambitions politiques mais rappelle être dans une coalition, qui aura le dernier mot. Ainsi, il dégage en touche l'idée selon laquelle, le Ministre Matar Bâ est l'homme puissant de Fatick. Selon lui, personne n'est puissant à Fatick et tous les responsables politiques travaillent pour le compte du Président Macky Sall, qui est le seul puissant à Fatick, a-t-il conclu.
Selon l'ANDS, le Sénégal compte environ 10 hectares de bidonvilles, a déclaré Maïssa Mahécor Diouf, DG de la nouvelle entité de l'État, chargée d'aménager le foncier mais aussi de rénover les zones urbaines, la Société d'Aménagement Foncier et de Rénovation Urbaine (SAFRU SA).
Une situation qui a poussé le président de la République Macky Sall, dans son programme Zéro bidonvilles ( PROZEBID), à mettre sur pied toutes les stratégies politiques capables de mettre en terme à ce déséquilibre urbain, d'où la création de cette nouvelle société qui va aider l'État dans sa politique de logements sociaux, à l'instar de l'initiative des 100.000 logements, à assurer les travaux d'aménagement afin que l'accessibilité soit une réalité pour toutes les couches sociales, estime-t-il.
Normalement, si une société veut aménager un foncier avant d'y construire des logements destinés à la vente, l'acquéreur va obligatoirement décaisser au minimum, 18 millions FCfa.
Aujourd'hui, grâce à cette politique de logements sociaux, initiée par le Président Macky Sall, on peut avoir un logement à partir de 12 millions FCfa, ce qui est une avancée significative, a expliqué Maïssa Mahécor Diouf, qui fait savoir que pour la phase pilote, c'est 500 hectares qui sont en train d'être aménagés à Daga Kholpa ( dans le département de Rufisque), une zone stratégique qui se trouve entre les deux futurs ports minéraliers de Bargny et de Ndayane et à 3 Km d'AIBD.
La Task Force Républicaine (TFR) n'est pas une entité de substitution...Que Mame Mbaye Niang garde sa sérénité
À l'instar de toutes les initiatives visant à défendre la politique du Chef de l'État, Macky Sall, la Task Force Républicaine a été mise en place pour vulgariser les réalisations du président de la République, rétorque Maïssa Mahécor Diouf.
Poursuivant, il déclare que la TFR n'est pas une entité de substitution au gouvernement, qui, à travers sa nouvelle forme de communication avec la presse, donne à la population sénégalaise les bonnes informations. Il invite ainsi le Ministre Chef de Cabinet du président de la République, Mame Mbaye Niang, à garder sa sérénité, estimant qu'il ne voit rien de mal à ce que le Ministre Directeur de Cabinet du président de la République, Mahmoud Saleh, avec d'autres camarades de parti, décident de créer un cadre d'échange pour contrer l'opposition dans sa politique de désinformation.
Si Mimi Touré s'était exprimée sur la question du troisième mandat, alors qu'elle était au cœur du pouvoir, cela aurait été beaucoup plus intéressant mais...
Attendant d'être éjectée du poste de la présidence du CESE pour faire une déclaration sur le troisième mandat, ne me semble pas intéressant, estime le responsable politique de l'APR, Maïssa Mahécor Diouf.
Selon toujours, le DG de la SAFRU, au nom de l'élégance républicaine, elle aurait dû au moins citer le nom du Président Macky Sall dans sa déclaration d'adieu, même si elle ne le remercie pas. Il pense ainsi que si Mimi Touré s'était exprimée sur la question du troisième mandat alors qu'elle était au cœur du pouvoir, cela aurait été beaucoup plus intéressant, mais attendre d'être éjectée pour faire de telles déclarations, est synonyme tout simplement de frustration.
En guise de rappel, il fait savoir que Mme Aminata Touré n'est pas une membre fondatrice de l'APR, elle est venue comme collaboratrice, et a bénéficié de la confiance du Président Macky Sall, mais poursuit-il, elle n'est pas plus méritante que toutes ces femmes qui se sont battues aux côtés du Chef de l'État Macky Sall depuis 2009.
Il faut aller vers la suppression des villes pour créer des grandes métropoles...La stabilité politique n'a pas de prix.
Pour le responsable politique de l'APR, Maïssa Mahécor Diouf, l'aspect politique ne peut être évoqué pour la suppression des villes, notamment celle de Dakar, car, dit-il, si on prend le dernier paramètre électoral, la majorité présidentielle est majoritaire dans la ville de Dakar.
En outre, ajoute-t-il, le monde tend vers la création de grandes métropoles, donc aujourd'hui, à l'instar des autres pays, il faut supprimer les villes pour créer de grandes métropoles. Ainsi, il pense que pour la ville de Dakar, il faut redistribuer la contribution des dakarois qui tourne autour de 100 milliards, aux communes d'arrondissement.
Parlant du dialogue politique, le Directeur de SAFRU SA juge dérisoire le montant dépensé (94,6 millions FCfa) par l'équipe dirigé par Famara Ibrahima Sagna dans la mesure où dit-il, la stabilité politique n'a pas de prix.
Avant l'arrivée du Président Macky Sall, Fatick n'avait que 6 Km de routes... j'ai des ambitions pour la commune de Fatick
L'avènement au pouvoir du Président Macky Sall, a permis à la commune de Fatick de bénéficier de beaucoup d'infrastructures, a fait savoir Maïssa Mahécor Diouf. À titre d'exemples, le responsable politique de Fatick, cite les infrastructures routières qui sont passées de 6 Km à 26 Km, la cité administrative qui accueille les bâtiments de l'État mais aussi l'investissement de 1,6 milliards pour le traitement de l'eau salée.
Pour la conquête de la commune de Fatick, Maïssa Mahécor Diouf décline ses ambitions politiques mais rappelle être dans une coalition, qui aura le dernier mot. Ainsi, il dégage en touche l'idée selon laquelle, le Ministre Matar Bâ est l'homme puissant de Fatick. Selon lui, personne n'est puissant à Fatick et tous les responsables politiques travaillent pour le compte du Président Macky Sall, qui est le seul puissant à Fatick, a-t-il conclu.
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