Selon lui, rien, ni personne ne devrait s’y opposer, car souligne-t-il, à force de créer des situations d’impunité, on va à la dérive.
«Il y a des rapports d’audit qui peuvent mener carrément à des saisines auprès du juge. A partir de ce moment, il faut rechercher une sanction, soit administrative, soit pénale. Dans la majeure partie des cas au niveau du pays, il y a des dossiers qui aboutissent et d’autres qui sont latents au niveau du juge. Les gens disent souvent que ces dossiers protègent d’éminentes personnalités du pays. Dans ce cas de figure, cela suppose que la mission d’évaluation qui a été commanditée, est nulle et non avenue. Donc, cela n’a pas servi à grande chose du fait que la finalité qui devait être donnée à cela, n’a pas abouti».
Ces explications sont de Amacodou Diouf, président de l’Ong Action Humaine pour le Développement intégré au Sénégal (Ahdis). Pour lui, il est extrêmement important, à chaque fois que le gouvernement ou les décideurs qui ont commandité ces évaluations, sachent que les Sénégalais attendent à ce que ce pays ait une administration transparente et un mode gestion qui est basée sur des principes de transparence et de bonne gouvernance.
Pour lutter contre cette imputé qui conduit à la mal gouvernance au Sénégal, M. Diouf préconise un certain nombre de solutions. «Ce qui est recommandé, c’est qu’à chaque fois, s’il y a des mesures correctives à apporter, de prendre toutes les dispositions idoines pour pouvoir exécuter ces corrections. Je pense que cela ne fait que crédibiliser le système de gestion publique. Maintenant, toute autre attitude contraire à cela, ne fera que décrédibiliser ce même système. Par voie de conséquence, ce que les Sénégalais veulent, c’est un système de gestion des affaires publiques qui soit transparent, avec des méthodes et des pratiques transparentes, qui puissent permettre qu’il y ait l’équité et la justice dans la gestion», a-t-il soutenu.
Selon toujours "Sud quotidien", de son point de vue, s’il y a des mesures, il faut les appliquer et rien et personne ne devrait s’y opposer. «A force de créer des situations d’impunité, on va à la dérive dans le cadre de la gestion des affaires publiques. Et cela ne peut pas rimer avec un développement. Quand il y a malversations, il faut prendre les mesures disciplinaires nécessaires, sans parti-pris», a indiqué le président de l’Ahdis. Il propose aussi qu’il y ait un système de dénonciation et que les gens permettent que cette dénonciation porte des résultats.
«Il y a des rapports d’audit qui peuvent mener carrément à des saisines auprès du juge. A partir de ce moment, il faut rechercher une sanction, soit administrative, soit pénale. Dans la majeure partie des cas au niveau du pays, il y a des dossiers qui aboutissent et d’autres qui sont latents au niveau du juge. Les gens disent souvent que ces dossiers protègent d’éminentes personnalités du pays. Dans ce cas de figure, cela suppose que la mission d’évaluation qui a été commanditée, est nulle et non avenue. Donc, cela n’a pas servi à grande chose du fait que la finalité qui devait être donnée à cela, n’a pas abouti».
Ces explications sont de Amacodou Diouf, président de l’Ong Action Humaine pour le Développement intégré au Sénégal (Ahdis). Pour lui, il est extrêmement important, à chaque fois que le gouvernement ou les décideurs qui ont commandité ces évaluations, sachent que les Sénégalais attendent à ce que ce pays ait une administration transparente et un mode gestion qui est basée sur des principes de transparence et de bonne gouvernance.
Pour lutter contre cette imputé qui conduit à la mal gouvernance au Sénégal, M. Diouf préconise un certain nombre de solutions. «Ce qui est recommandé, c’est qu’à chaque fois, s’il y a des mesures correctives à apporter, de prendre toutes les dispositions idoines pour pouvoir exécuter ces corrections. Je pense que cela ne fait que crédibiliser le système de gestion publique. Maintenant, toute autre attitude contraire à cela, ne fera que décrédibiliser ce même système. Par voie de conséquence, ce que les Sénégalais veulent, c’est un système de gestion des affaires publiques qui soit transparent, avec des méthodes et des pratiques transparentes, qui puissent permettre qu’il y ait l’équité et la justice dans la gestion», a-t-il soutenu.
Selon toujours "Sud quotidien", de son point de vue, s’il y a des mesures, il faut les appliquer et rien et personne ne devrait s’y opposer. «A force de créer des situations d’impunité, on va à la dérive dans le cadre de la gestion des affaires publiques. Et cela ne peut pas rimer avec un développement. Quand il y a malversations, il faut prendre les mesures disciplinaires nécessaires, sans parti-pris», a indiqué le président de l’Ahdis. Il propose aussi qu’il y ait un système de dénonciation et que les gens permettent que cette dénonciation porte des résultats.