Le 10 janvier, au lendemain de la décision des chefs d’État de la Cedeao de fermer leurs frontières avec le Mali, Air France avait interrompu ses 14 vols hebdomadaires vers Bamako.
Comme l’avait révélé Jeune Afrique le 25 janvier, Emmanuel Macron avait fait savoir aux dirigeants de la compagnie, détenue à 14 % par l’État français, qu’il ne souhaitait pas, compte tenu des sévères sanctions prises par l’organisation sous-régionale, que les liaisons vers cette destination reprennent dans l’immédiat.
D’abord refusée par l’Élysée, la fin de la suspension des vols de la compagnie française vers le Mali a été actée, selon Jeune Afrique qui parle de «fruit d’un intense lobbying». A la mi-janvier déjà, les responsables de la compagnie aérienne française étaient entrés en discussion avec la junte malienne pour renégocier une reprise de ses vols vers Bamako.
C’est désormais chose faite.
Comme l’avait révélé Jeune Afrique le 25 janvier, Emmanuel Macron avait fait savoir aux dirigeants de la compagnie, détenue à 14 % par l’État français, qu’il ne souhaitait pas, compte tenu des sévères sanctions prises par l’organisation sous-régionale, que les liaisons vers cette destination reprennent dans l’immédiat.
D’abord refusée par l’Élysée, la fin de la suspension des vols de la compagnie française vers le Mali a été actée, selon Jeune Afrique qui parle de «fruit d’un intense lobbying». A la mi-janvier déjà, les responsables de la compagnie aérienne française étaient entrés en discussion avec la junte malienne pour renégocier une reprise de ses vols vers Bamako.
C’est désormais chose faite.