Les ministres européens des Affaires étrangères ont réaffirmé lundi qu'il était essentiel que les élections prévues fin juillet au Mali puissent se tenir sur l'ensemble du territoire, "y compris dans la région de Kidal et dans les camps de réfugiés".
"Il est de la plus haute importance que les conditions soient réunies pour le rétablissement de l'administration d'Etat sur l'ensemble du territoire malien et pour la tenue d'élections y compris dans la région de Kidal ainsi que dans les camps de réfugiés", ont déclaré les ministres dans les conclusions de leur réunion mensuelle à Bruxelles.
Le premier tour de l'élection présidentielle est prévu à partir du 28 juillet mais la situation reste problématique dans la zone de Kidal, la ville du nord occupée par le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et où des groupes jihadistes commettent ponctuellement des attentats.
Dans ce contexte, l'UE "encourage" la Commission Nationale de Dialogue et de Réconciliation à "engager ses travaux dans les meilleurs délais afin d'assurer un dialogue national inclusif ouvert à la fois aux représentants civils et aux représentants des groupes armés non-terroristes et non-criminels qui ont déposé les armes".
"Elle salue également la désignation d'un représentant du Gouvernement pour conduire des pourparlers avec ces groupes pour autant qu'ils se soient engagés à respecter l'unité, l'intégrité territoriale et la souveraineté du Mali", selon le texte.
Le président malien de transition, Dioncounda Traoré, a récemment affirmé être disposé à dialoguer avec le MNLA en prônant une plus grande décentralisation tout en excluant une autonomie du nord du pays.
Source : IZF.net
"Il est de la plus haute importance que les conditions soient réunies pour le rétablissement de l'administration d'Etat sur l'ensemble du territoire malien et pour la tenue d'élections y compris dans la région de Kidal ainsi que dans les camps de réfugiés", ont déclaré les ministres dans les conclusions de leur réunion mensuelle à Bruxelles.
Le premier tour de l'élection présidentielle est prévu à partir du 28 juillet mais la situation reste problématique dans la zone de Kidal, la ville du nord occupée par le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et où des groupes jihadistes commettent ponctuellement des attentats.
Dans ce contexte, l'UE "encourage" la Commission Nationale de Dialogue et de Réconciliation à "engager ses travaux dans les meilleurs délais afin d'assurer un dialogue national inclusif ouvert à la fois aux représentants civils et aux représentants des groupes armés non-terroristes et non-criminels qui ont déposé les armes".
"Elle salue également la désignation d'un représentant du Gouvernement pour conduire des pourparlers avec ces groupes pour autant qu'ils se soient engagés à respecter l'unité, l'intégrité territoriale et la souveraineté du Mali", selon le texte.
Le président malien de transition, Dioncounda Traoré, a récemment affirmé être disposé à dialoguer avec le MNLA en prônant une plus grande décentralisation tout en excluant une autonomie du nord du pays.
Source : IZF.net