La junte militaire au pouvoir depuis le 22 mars au Mali a appelé les populations du nord du pays à résister aux groupes rebelles et autres assaillants extrémistes qui contrôlent désormais leurs régions, parlant de séquestration de ces populations, dans un communiqué diffusé jeudi.
La junte exprime sa solidarité à l'endroit de toutes les populations maliennes séquestrées sur le territoire malien envahi par des groupes rebelles et autres assaillants extrémistes, elle les exhorte à résister et les rassure que l'Etat mettra tout en oeuvre dans les meilleurs délais pour leur redonner la plénitude de leur sécurité.
Le texte est signé par le lieutenant Amadou Konaré, porte-parole du Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'Etat (CNRDRE, junte).
La junte, qui avait accusé la veille les groupes armés de graves violations des droits de l'Homme, dont des viols dans les zones sous leur contrôle, rappelle à ces groupes assaillants que la vie humaine est sacrée et qu'ils ont obligation de préserver les biens d'autrui.
Les putschistes ont également exprimé leur vive préoccupation après l'enlèvement jeudi de sept membres du consulat d'Algérie à Gao (nord-est), métropole tombée en fin de semaine dernière avec Kidal (nord-est) et Tombouctou (nord-ouest) aux mains de rebelles et de divers groupes armés, dont des islamistes.
Le CNRDRE condamne fermement cet acte qui met en danger des vies humaines et l'excellence des relations ente le Mali et la République soeur d'Algérie, et il met en garde les ravisseurs contre toute atteinte à l'intégrité physique des personnes enlevées, en les invitant à la raison.
Enfin la junte appelle à une action régionale en vue de la sauvegarde de l'intégrité territoriale du Mali, de la stabilité et du développement du pays ainsi que de toute la région sahélo-saharienne.
Depuis le coup d'Etat militaire qui a renversé le président Amadou Toumani Touré le 22 mars, les rebelles touareg, des groupes armés islamistes et/ou criminels ont pris le contrôle des trois capitales régionales du nord du Mali, Tombouctou, Kidal et Gao, coupant le pays en deux.
Selon des organisations humanitaires, des exactions et des pillages ont été commis en grand nombre dans ces villes.
SOURCE:Dakaractu
La junte exprime sa solidarité à l'endroit de toutes les populations maliennes séquestrées sur le territoire malien envahi par des groupes rebelles et autres assaillants extrémistes, elle les exhorte à résister et les rassure que l'Etat mettra tout en oeuvre dans les meilleurs délais pour leur redonner la plénitude de leur sécurité.
Le texte est signé par le lieutenant Amadou Konaré, porte-parole du Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'Etat (CNRDRE, junte).
La junte, qui avait accusé la veille les groupes armés de graves violations des droits de l'Homme, dont des viols dans les zones sous leur contrôle, rappelle à ces groupes assaillants que la vie humaine est sacrée et qu'ils ont obligation de préserver les biens d'autrui.
Les putschistes ont également exprimé leur vive préoccupation après l'enlèvement jeudi de sept membres du consulat d'Algérie à Gao (nord-est), métropole tombée en fin de semaine dernière avec Kidal (nord-est) et Tombouctou (nord-ouest) aux mains de rebelles et de divers groupes armés, dont des islamistes.
Le CNRDRE condamne fermement cet acte qui met en danger des vies humaines et l'excellence des relations ente le Mali et la République soeur d'Algérie, et il met en garde les ravisseurs contre toute atteinte à l'intégrité physique des personnes enlevées, en les invitant à la raison.
Enfin la junte appelle à une action régionale en vue de la sauvegarde de l'intégrité territoriale du Mali, de la stabilité et du développement du pays ainsi que de toute la région sahélo-saharienne.
Depuis le coup d'Etat militaire qui a renversé le président Amadou Toumani Touré le 22 mars, les rebelles touareg, des groupes armés islamistes et/ou criminels ont pris le contrôle des trois capitales régionales du nord du Mali, Tombouctou, Kidal et Gao, coupant le pays en deux.
Selon des organisations humanitaires, des exactions et des pillages ont été commis en grand nombre dans ces villes.
SOURCE:Dakaractu