Ces tirs se produisent dans le centre-ville et ont pour origine la tentative d'arrestation d'un responsable de la garde présidentielle par l'ex-junte qui avait renversé le régime du président malien Amadou Toumani Touré (ATT) le 22 mars avant d'accepter de rendre le pouvoir, selon ces témoins.
Les Bérets rouges se sont opposés à l'arrestation d'Abidine, surnom de l'ancien chef d'état-major du président ATT, par des hommes de l'ex-junte dirigée par le capitaine Amadou Haya Sanogo.
Selon l'ambassade américaine, des tirs ont été entendus près du siège de l'Office de radio-télévision du Mali (ORTM), occupé par l'armée depuis le coup d'Etat du 22 mars.
Ces incidents surviennent à la veille d'une rencontre prévue à Ouagadougou entre des membres de la junte et le président burkinabé Blaise Compaoré, médiateur dans la crise malienne.
Le capitaine Sanogo a rejeté samedi les décisions prises le 26 avril à Abidjan lors d'un sommet de chefs d'Etat de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), dont l'envoi de soldats dans son pays pour sécuriser la transition après le putsch du 22 mars.
Il a rejeté aussi la décision de la Cédéao de fixer la période de transition à douze mois, jusqu'à la tenue d'élections présidentielle et législatives. Il a affirmé qu'il prendrait ses responsabilités à l'issue du mandat constitutionnel de 40 jours du président par intérim Dioncounda Traoré, investi le 12 avril.
SOURCE:AFP
Les Bérets rouges se sont opposés à l'arrestation d'Abidine, surnom de l'ancien chef d'état-major du président ATT, par des hommes de l'ex-junte dirigée par le capitaine Amadou Haya Sanogo.
Selon l'ambassade américaine, des tirs ont été entendus près du siège de l'Office de radio-télévision du Mali (ORTM), occupé par l'armée depuis le coup d'Etat du 22 mars.
Ces incidents surviennent à la veille d'une rencontre prévue à Ouagadougou entre des membres de la junte et le président burkinabé Blaise Compaoré, médiateur dans la crise malienne.
Le capitaine Sanogo a rejeté samedi les décisions prises le 26 avril à Abidjan lors d'un sommet de chefs d'Etat de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), dont l'envoi de soldats dans son pays pour sécuriser la transition après le putsch du 22 mars.
Il a rejeté aussi la décision de la Cédéao de fixer la période de transition à douze mois, jusqu'à la tenue d'élections présidentielle et législatives. Il a affirmé qu'il prendrait ses responsabilités à l'issue du mandat constitutionnel de 40 jours du président par intérim Dioncounda Traoré, investi le 12 avril.
SOURCE:AFP