Le vice-consul Taher Touati "a été éxécuté ce matin à l'aube", au terme d'un ultimatum de huit jours, a indiqué l'Agence Nouakchott Information (ANI), citant un communiqué transmis par le Muajo qui dénonce "l'entêtement" du gouvernement algérien. Le 24 août, un message du Mujao avait menacé les autorités algériennes de représailles si elles ne libéraient pas dans les cinq jours trois jihadistes arrêtés le 15 août, dont un dirigeant d'al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).
L'État algérien vérifie l'information
Le consul d'Algérie à Gao, au nord-est du Mali, et six membres de sa mission avient été enlevés le 5 avril par des islamistes armés, qui ont pris à Gao le dessus sur les rebelles touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA). Le 16 juillet, trois des sept diplomates avaient été libérés.
Les autorités algériennes ont annoncé qu'elles vérifiaient la véracité de l'annonce de cette exécution. Le communiqué est "actuellement l'objet de vérifications nécessaires pour s'assurer de son authenticité", a annoncé le ministère algérien des Affaires étrangères. "Les contacts ne sont pas rompus" avec les ravisseurs, a précisé le ministère, ajoutant que les familles des quatre fonctionnaires consulaires retenus en otage avaient "été reçues samedi matin" au ministère.
L'État algérien vérifie l'information
Le consul d'Algérie à Gao, au nord-est du Mali, et six membres de sa mission avient été enlevés le 5 avril par des islamistes armés, qui ont pris à Gao le dessus sur les rebelles touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA). Le 16 juillet, trois des sept diplomates avaient été libérés.
Les autorités algériennes ont annoncé qu'elles vérifiaient la véracité de l'annonce de cette exécution. Le communiqué est "actuellement l'objet de vérifications nécessaires pour s'assurer de son authenticité", a annoncé le ministère algérien des Affaires étrangères. "Les contacts ne sont pas rompus" avec les ravisseurs, a précisé le ministère, ajoutant que les familles des quatre fonctionnaires consulaires retenus en otage avaient "été reçues samedi matin" au ministère.