Toutefois, il reconnaît la responsabilité de l’actuel régime à prendre des mesures pour éviter cette situation. Il invite, également, tous ceux qui ont des moyens à porter secours aux sinistrées. Cela en guise, dit-il, « de solution d’urgence d’abord ». Par contre, « la solution durable ne peut être que le déplacement des populations, accompagné d’un plan de circulation adéquat ».
Se prononçant sur les révélations de « Contes et Mécomptes de l’Anoci » du journaliste Abdou Latif Coulibaly, le parlementaire prône « la lumière à travers une enquête indépendante et crédible afin de situer les responsabilités ».
Sur les nombreux délestages, l’honorable député avoue que « c’est difficile de comprendre pourquoi le nouveau départ n’est pas encore réalisé à la Senelec après que l’Etat a investi 500 milliards ». C’est ainsi qu’il estime que tout doit se mettre en œuvre pour identifier le vrai problème de la Senelec.
Mamadou Bamba Ndiaye a, par ailleurs, fait savoir sa position sur la création d’un nouveau parti présidentiel. « Le Mouvement populaire pour le socialisme-Mps/ Selal n’est pas partant pour le nouveau parti présidentiel », martèle-t-il. Cependant, Mamadou Bamba Ndiaye et son Mouvement optent pour un nouveau cadre de la mouvance présidentielle afin de « discuter sur tous les problèmes du pays ».
Au sujet de l’Anoci, bien qu’allié du Pds, car membre de la mouvance présidentielle, le député Bamba Ndiaye n’y est pas allé du dos de la cuillère pour asséner ses vérités sur la controverse autour de son bilan.
"Acteurs de l’alternance, nous ne saurions déroger à notre engagement pour une gestion vertueuse des ressources nationales, ni renoncer à l’idéal de transparence qui nous a mobilisés en 2000. Nous ne saurions non plus nous faire l’avocat du diable. Nous ne pouvons que dénoncer et condamner toute dilapidation des ressources nationales, comme nous le faisions sous l’ancien régime", indique l’ex-fils spirituel du Maodo Mamadou Dia.
Poursuivant, Bamba Ndiaye dira que "la controverse sur le bilan financier de l’Anoci, qui entretient la confusion dans le pays, met mal à l’aise tous les acteurs de l’alternance".
Et d’indiquer que : "Ces accusations récurrentes ne sont certes pas nouvelles, mais le silence des principaux concernés est devenu troublant et inquiétant".
Toujours selon lui, "les Sénégalais, et surtout ceux qui sont engagés aux côtés du Président Wade, ont besoin de savoir ce qu’il en est réellement".
"Les auteurs d’éventuelles malversations, quels qu’ils soient, devront en répondre devant la Justice qui doit être la même pour tous. Nous demandons donc que la lumière soit faite sur la gestion de l’Anoci, dans un cadre indépendant et crédible ; pourquoi pas une commission parlementaire d’enquête, comme en 2003 ?", dit enfin, M. Ndiaye. Serait-il en position de mésalliance ? L’avenir nous le dira.
Abdou TIMERA Ferloo.com
Se prononçant sur les révélations de « Contes et Mécomptes de l’Anoci » du journaliste Abdou Latif Coulibaly, le parlementaire prône « la lumière à travers une enquête indépendante et crédible afin de situer les responsabilités ».
Sur les nombreux délestages, l’honorable député avoue que « c’est difficile de comprendre pourquoi le nouveau départ n’est pas encore réalisé à la Senelec après que l’Etat a investi 500 milliards ». C’est ainsi qu’il estime que tout doit se mettre en œuvre pour identifier le vrai problème de la Senelec.
Mamadou Bamba Ndiaye a, par ailleurs, fait savoir sa position sur la création d’un nouveau parti présidentiel. « Le Mouvement populaire pour le socialisme-Mps/ Selal n’est pas partant pour le nouveau parti présidentiel », martèle-t-il. Cependant, Mamadou Bamba Ndiaye et son Mouvement optent pour un nouveau cadre de la mouvance présidentielle afin de « discuter sur tous les problèmes du pays ».
Au sujet de l’Anoci, bien qu’allié du Pds, car membre de la mouvance présidentielle, le député Bamba Ndiaye n’y est pas allé du dos de la cuillère pour asséner ses vérités sur la controverse autour de son bilan.
"Acteurs de l’alternance, nous ne saurions déroger à notre engagement pour une gestion vertueuse des ressources nationales, ni renoncer à l’idéal de transparence qui nous a mobilisés en 2000. Nous ne saurions non plus nous faire l’avocat du diable. Nous ne pouvons que dénoncer et condamner toute dilapidation des ressources nationales, comme nous le faisions sous l’ancien régime", indique l’ex-fils spirituel du Maodo Mamadou Dia.
Poursuivant, Bamba Ndiaye dira que "la controverse sur le bilan financier de l’Anoci, qui entretient la confusion dans le pays, met mal à l’aise tous les acteurs de l’alternance".
Et d’indiquer que : "Ces accusations récurrentes ne sont certes pas nouvelles, mais le silence des principaux concernés est devenu troublant et inquiétant".
Toujours selon lui, "les Sénégalais, et surtout ceux qui sont engagés aux côtés du Président Wade, ont besoin de savoir ce qu’il en est réellement".
"Les auteurs d’éventuelles malversations, quels qu’ils soient, devront en répondre devant la Justice qui doit être la même pour tous. Nous demandons donc que la lumière soit faite sur la gestion de l’Anoci, dans un cadre indépendant et crédible ; pourquoi pas une commission parlementaire d’enquête, comme en 2003 ?", dit enfin, M. Ndiaye. Serait-il en position de mésalliance ? L’avenir nous le dira.
Abdou TIMERA Ferloo.com
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