A force de consommer de la drogue, Mamadou Basse a fini par avoir un ulcère aigu. Malgré cela, il continue d’en user, et c’est ce qui lui a valu sa comparution devant le président de la Chambre correctionnelle. « Je suis un drogué. Je suis accro et quand je ne me drogue pas, je suis malade », avoue-t-il avant de rappeler ce qui l’a poussé à s’y adonner. « J’ai commencé à prendre de la drogue depuis 1991. Je prenais des comprimés pour me droguer mais, c’est difficile d’en trouver. C’est la raison pour laquelle je me rabattais souvent sur l’héroïne. J’étais sous le choc quand j’ai perdu mon papa, je ne pouvais pas tenir le coup. C’est juste ce produit qui pouvait noyer ma souffrance. Du coup, je suis devenus accro, quand je ne me drogue pas, je suis malade », a-t-il ajouté dans le journal Grand- Place.
Des déclarations qui n’ont pas convaincu le représentant du ministère public qui indique que la quantité de drogue trouvée par devers lui n’était pas destinée à sa consommation personnelle vu qu’il ne peut pas fumer 26 képas en une journée. Il est convaincu aussi que l’argent qu’il détenait au moment de son arrestation est le produit de la vente de la drogue. Ainsi, il a requis 15 ans de travaux forcés à son encontre. Malgré la demande de l’application bienveillante de la loi de son avocat, qui dit que son client s’est repenti vu qu’ils ne consomme plus ce produit prohibé depuis son arrestation en 2009, la Chambre criminelle a prononcé la peine de 15 ans de travaux forcés, en plus d’une amende d’un millions de FCfa à l’encontre de Mamadou Basse.
Des déclarations qui n’ont pas convaincu le représentant du ministère public qui indique que la quantité de drogue trouvée par devers lui n’était pas destinée à sa consommation personnelle vu qu’il ne peut pas fumer 26 képas en une journée. Il est convaincu aussi que l’argent qu’il détenait au moment de son arrestation est le produit de la vente de la drogue. Ainsi, il a requis 15 ans de travaux forcés à son encontre. Malgré la demande de l’application bienveillante de la loi de son avocat, qui dit que son client s’est repenti vu qu’ils ne consomme plus ce produit prohibé depuis son arrestation en 2009, la Chambre criminelle a prononcé la peine de 15 ans de travaux forcés, en plus d’une amende d’un millions de FCfa à l’encontre de Mamadou Basse.