Voilà un homme du mal, issu d’un mal, et qui vit par le mal. Voilà un homme qui ne fait apparemment pas la distinction entre « adversité » et « haine ».
Mamadou Lamine Diallo est parvenu à l’hémicycle par un wagon, le même qu’il a toujours emprunté à défaut de construire sa propre locomotive. Ce qui est en soi louable parce qu’il n’est pas donné à tout le monde d’être leader.
Le mouvement qu’il a créé depuis lors s’appelle « tékki ». En wolof, le terme est une projection d’une position de « non-signifiant » (ku tekki woul) vers une position de notoriété (tékki). Apparemment, les trajectoires suivies ne l’ont pas encore satisfait puisqu’il doit sentir un manque, une insuffisance en lui-même, qui l’empêche d’être accompli (autre définition de « tekki »). Tékké goul.
Alors, pour compenser, il trempe sa plume dans le fiel et ajuste sa cible. Ce qu’il ignorait et ignore toujours, c’est qu’un éléphant est hors de portée d’une fourmi « bou tékké goul ». Un président de la République, deux fois choisi par son peuple et dont tous les projets proposés à ce même peuple ont été adoubés, n’est pas une cible ordinaire pour quelqu’un qui cherche sa voie vers le tékki.
Ses questions orales, aussi ineptes les unes que les autres, sont un magma de contradictions répétées et finalement oubliées dès le dépôt à l’Assemblée.
Sa dernière sortie n’est rien d’autre que l’étalage de ses limites et contradictions. L’histoire d’un peuple, de tous les peuples, est jalonnée d’événements douloureux parfois. Les tsunamis du Japon et d’Indonésie, les tremblements de terre de Pompéi ou d’Agadir, ou même le crash de Dahran (qui nous a coûté 90 diambars) et le naufrage du Diola n’ont jamais vu un représentant du peuple à un si haut niveau, pointer du doigt un régime politique. En chercher systématiquement les responsables, est un aveuglement volontaire et coupable. C’est surtout ignorer Dieu ou pis, l’accuser comme le faisait le Léviathan.
C’est cette attitude qui sert de carburant à ces jeunes agresseurs qui roulent en motocyclettes les veilles de fête et volent à la tire avec des « tasers » et des armes blanches.
VOILA LE NIVEAU DE RESPONSABILITE DE DIALLO ET DES GENS QUI PENSENT COMME LUI.
Selon M. L. Diallo, notre regrettée Fatoumata Matar Ndiaye était une jeune femme ! Cette respectable dame, militante de la première heure du parti du Président Sall, pourrait être sa mère.
La regrettée Bineta Camara passait tout son temps à capitaliser les réalisations du Président Macky Sall. Elle a été assassinée, non pas par un chômeur et un révolté comme le prétend le député, mais par quelqu’un qui avait son travail et qui l’exerçait. Dans leur Paradis, elles se garderont pourtant de maudire ce député. Parce que tékké goul.
Pour M. Diallo, ce serait donc Macky qui tuerait ses militants ? N’en rions pas.
Les chavirements catastrophiques de pirogues dans les Iles du Saloum et de la Casamance ? Ce n’est ni la surcharge, ni le mouvement des flots, encore moins le manque de ports de gilets de sauvetage !
Ces pêcheurs qui disparaissent en mer ? Ne cherchez pas loin les coupables. Tendez-lui le micro ou prêtez-lui la plume, il vous dira que c’est le régime de Benno Bokk Yakaar.
Cette scène de ménage qui a viré au drame à Thiès, c’est toujours le même coupable.
Ce que le Président Macky Sall a déjà fait pour ce pays et qui lui vaut d’avoir été reconduit, est patent, manifeste et palpable (excusez ces redondances). Il a équipé nos forces de défense et de sécurité, construit des ports et des aéroports, allongé et bitumé des centaines de kilomètres de routes, construit des ponts et des passerelles, creusé des puits et des forages, élargi l’accès à l’énergie et diminué le coût de la vie pour ses concitoyens. Il ne s’en fatiguera pas, parce que ce n’est pas son genre que de renoncer à faire le bien et à traquer les prévaricateurs.
Ce que le Président ne réussira jamais –parce qu’il ne le peut pas et ne le veut pas, c’est entrer dans toutes les chaumières en inquisiteur, ni entrer dans les petites cervelles de comploteurs et des assassins à la manière du Big Brother d’Orwell.
M. L. Diallo, vous êtes parmi les principaux responsables de cette situation d’insécurité.
Parce que, comme tes semblables qui embouchent la même trompette aux effluves nauséabondes, tékki wo !
Et la route est encore longue vers ton tékki !
Abdourahmane Ndiaye,
Secrétaire Administratif National de l’APR
abdunjaay@hotmail.com
Mamadou Lamine Diallo est parvenu à l’hémicycle par un wagon, le même qu’il a toujours emprunté à défaut de construire sa propre locomotive. Ce qui est en soi louable parce qu’il n’est pas donné à tout le monde d’être leader.
Le mouvement qu’il a créé depuis lors s’appelle « tékki ». En wolof, le terme est une projection d’une position de « non-signifiant » (ku tekki woul) vers une position de notoriété (tékki). Apparemment, les trajectoires suivies ne l’ont pas encore satisfait puisqu’il doit sentir un manque, une insuffisance en lui-même, qui l’empêche d’être accompli (autre définition de « tekki »). Tékké goul.
Alors, pour compenser, il trempe sa plume dans le fiel et ajuste sa cible. Ce qu’il ignorait et ignore toujours, c’est qu’un éléphant est hors de portée d’une fourmi « bou tékké goul ». Un président de la République, deux fois choisi par son peuple et dont tous les projets proposés à ce même peuple ont été adoubés, n’est pas une cible ordinaire pour quelqu’un qui cherche sa voie vers le tékki.
Ses questions orales, aussi ineptes les unes que les autres, sont un magma de contradictions répétées et finalement oubliées dès le dépôt à l’Assemblée.
Sa dernière sortie n’est rien d’autre que l’étalage de ses limites et contradictions. L’histoire d’un peuple, de tous les peuples, est jalonnée d’événements douloureux parfois. Les tsunamis du Japon et d’Indonésie, les tremblements de terre de Pompéi ou d’Agadir, ou même le crash de Dahran (qui nous a coûté 90 diambars) et le naufrage du Diola n’ont jamais vu un représentant du peuple à un si haut niveau, pointer du doigt un régime politique. En chercher systématiquement les responsables, est un aveuglement volontaire et coupable. C’est surtout ignorer Dieu ou pis, l’accuser comme le faisait le Léviathan.
C’est cette attitude qui sert de carburant à ces jeunes agresseurs qui roulent en motocyclettes les veilles de fête et volent à la tire avec des « tasers » et des armes blanches.
VOILA LE NIVEAU DE RESPONSABILITE DE DIALLO ET DES GENS QUI PENSENT COMME LUI.
Selon M. L. Diallo, notre regrettée Fatoumata Matar Ndiaye était une jeune femme ! Cette respectable dame, militante de la première heure du parti du Président Sall, pourrait être sa mère.
La regrettée Bineta Camara passait tout son temps à capitaliser les réalisations du Président Macky Sall. Elle a été assassinée, non pas par un chômeur et un révolté comme le prétend le député, mais par quelqu’un qui avait son travail et qui l’exerçait. Dans leur Paradis, elles se garderont pourtant de maudire ce député. Parce que tékké goul.
Pour M. Diallo, ce serait donc Macky qui tuerait ses militants ? N’en rions pas.
Les chavirements catastrophiques de pirogues dans les Iles du Saloum et de la Casamance ? Ce n’est ni la surcharge, ni le mouvement des flots, encore moins le manque de ports de gilets de sauvetage !
Ces pêcheurs qui disparaissent en mer ? Ne cherchez pas loin les coupables. Tendez-lui le micro ou prêtez-lui la plume, il vous dira que c’est le régime de Benno Bokk Yakaar.
Cette scène de ménage qui a viré au drame à Thiès, c’est toujours le même coupable.
Ce que le Président Macky Sall a déjà fait pour ce pays et qui lui vaut d’avoir été reconduit, est patent, manifeste et palpable (excusez ces redondances). Il a équipé nos forces de défense et de sécurité, construit des ports et des aéroports, allongé et bitumé des centaines de kilomètres de routes, construit des ponts et des passerelles, creusé des puits et des forages, élargi l’accès à l’énergie et diminué le coût de la vie pour ses concitoyens. Il ne s’en fatiguera pas, parce que ce n’est pas son genre que de renoncer à faire le bien et à traquer les prévaricateurs.
Ce que le Président ne réussira jamais –parce qu’il ne le peut pas et ne le veut pas, c’est entrer dans toutes les chaumières en inquisiteur, ni entrer dans les petites cervelles de comploteurs et des assassins à la manière du Big Brother d’Orwell.
M. L. Diallo, vous êtes parmi les principaux responsables de cette situation d’insécurité.
Parce que, comme tes semblables qui embouchent la même trompette aux effluves nauséabondes, tékki wo !
Et la route est encore longue vers ton tékki !
Abdourahmane Ndiaye,
Secrétaire Administratif National de l’APR
abdunjaay@hotmail.com