A l'entame de ses propos, Mamadou Lamine Diallo met à l'index le chef de l'État : "Macky Sall met les finances à genoux". Après le chef de l'Etat, son ministre des Finances, est pointé du doigt : "Moustapha Bâ a beau faire des publireportages sur les finances publiques, la réalité est toute autre".
Dans ce sillage, l’auteur de questekki se veut plus clair, il en vient aux explications : « Le report forcé de l'élection présidentielle du 25 février 2024 a plongé le Sénégal dans l'incertitude. L'économie n'aime pas les incertitudes. Elle connaît les risques. En face de risques, les investisseurs ne peuvent agir.
Face à l’incertitude, ils croisent les bras. Les importateurs différent leurs achats et ce sont les droits de porte qui en pâtissent. Le ministère des Finances met la pression sur les entreprises locales, à qui il doit 1500 milliards d'arriérés de paiement. Les entreprises se tournent vers les banques, lesquelles font face à la politique monétaire de la BCEAO«.
Mamadou Lamine Diallo estime que petit à petit, la crise politique créée par le Président Macky Sall et la coalition Bby, et qui serait une tentative de déstabiliser le Conseil constitutionnel, se transforme en crise économique et financière.
Il va plus loin, en affirmant que les deux Bâ auront du mal à payer les salaires fin mars et que le ramadan sera dur pour les populations, avant d'ajouter que les prix vont grimper. Seulement, avant de le croire, Mamadou Lamine Diallo de préciser en ces termes : « le DG des douanes pourra se consoler. Le navire fpso pour l'exploitation du pétrole de Sangomar, va payer quelques dizaines de milliards de droits de douane ».
Tribune
Dans ce sillage, l’auteur de questekki se veut plus clair, il en vient aux explications : « Le report forcé de l'élection présidentielle du 25 février 2024 a plongé le Sénégal dans l'incertitude. L'économie n'aime pas les incertitudes. Elle connaît les risques. En face de risques, les investisseurs ne peuvent agir.
Face à l’incertitude, ils croisent les bras. Les importateurs différent leurs achats et ce sont les droits de porte qui en pâtissent. Le ministère des Finances met la pression sur les entreprises locales, à qui il doit 1500 milliards d'arriérés de paiement. Les entreprises se tournent vers les banques, lesquelles font face à la politique monétaire de la BCEAO«.
Mamadou Lamine Diallo estime que petit à petit, la crise politique créée par le Président Macky Sall et la coalition Bby, et qui serait une tentative de déstabiliser le Conseil constitutionnel, se transforme en crise économique et financière.
Il va plus loin, en affirmant que les deux Bâ auront du mal à payer les salaires fin mars et que le ramadan sera dur pour les populations, avant d'ajouter que les prix vont grimper. Seulement, avant de le croire, Mamadou Lamine Diallo de préciser en ces termes : « le DG des douanes pourra se consoler. Le navire fpso pour l'exploitation du pétrole de Sangomar, va payer quelques dizaines de milliards de droits de douane ».
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