Au 22 juin, les recettes du budget atteignent 1 763,6 milliards FCfa, en hausse de 219,6 milliards FCfa par rapport à la même période de l'année précédente. Cette augmentation représente une croissance relative de 14,2%. Cette performance est encourageante et témoigne d'une certaine résilience face aux défis économiques mondiaux.
En ce qui concerne les dépenses du budget général, le ministre souligne qu'elles s'élèvent à 1 260,2 milliards FCfa, correspondant à un taux d'exécution de 49% par rapport aux crédits ouverts. Cette exécution est en ligne avec les prévisions établies. Les dépenses de personnel atteignent 636,7 milliards FCfa, soit un taux d'exécution de 50% des crédits ouverts, à la même date.
Le ministre tient également à rappeler que toutes les obligations de l'État liées aux accords avec les partenaires sociaux, ainsi que les mesures de revalorisation des salaires dans la Fonction publique, sont parfaitement prises en charge. Les paiements effectués par le Trésor public au 22 juin 2023, totalisent 3 630,63 milliards FCfa, en hausse de 630,63 milliards FCfa par rapport à l'année précédente, soit une augmentation de 24,6% en glissement annuel.
Les paiements se répartissent comme suit : les pensions et salaires représentent 587,74 milliards FCFA, soit une augmentation de 153 milliards FCfa par rapport à l'année précédente. Les autres dépenses atteignent 2 610,93 milliards FCfa, soit une augmentation de 476 milliards FCfa par rapport à la même période de l'année précédente.
Les projections budgétaires pour le reste de l'année visent à respecter les indicateurs suivants : un déficit budgétaire ciblé à 4,9% du PIB, un plancher des recettes fiscales hors recettes hydrocarbures fixé à 3 514 milliards FCfa, un plafond des restes à payer (liquidations non payées) établi à 40 milliards FCfa, un niveau des dépenses sociales fixé à 40% et un plafond de la valeur actuelle des nouveaux emprunts extérieurs du secteur public fixé à 2 326,2 milliards FCfa.
Malgré les défis persistants liés à la conjoncture économique mondiale, le budget 2023 affiche une augmentation des recettes et des dépenses, témoignant d'une gestion budgétaire responsable et d'efforts visant à stimuler l'économie, tout en répondant aux besoins sociaux et aux engagements de l'État.
En ce qui concerne les dépenses du budget général, le ministre souligne qu'elles s'élèvent à 1 260,2 milliards FCfa, correspondant à un taux d'exécution de 49% par rapport aux crédits ouverts. Cette exécution est en ligne avec les prévisions établies. Les dépenses de personnel atteignent 636,7 milliards FCfa, soit un taux d'exécution de 50% des crédits ouverts, à la même date.
Le ministre tient également à rappeler que toutes les obligations de l'État liées aux accords avec les partenaires sociaux, ainsi que les mesures de revalorisation des salaires dans la Fonction publique, sont parfaitement prises en charge. Les paiements effectués par le Trésor public au 22 juin 2023, totalisent 3 630,63 milliards FCfa, en hausse de 630,63 milliards FCfa par rapport à l'année précédente, soit une augmentation de 24,6% en glissement annuel.
Les paiements se répartissent comme suit : les pensions et salaires représentent 587,74 milliards FCFA, soit une augmentation de 153 milliards FCfa par rapport à l'année précédente. Les autres dépenses atteignent 2 610,93 milliards FCfa, soit une augmentation de 476 milliards FCfa par rapport à la même période de l'année précédente.
Les projections budgétaires pour le reste de l'année visent à respecter les indicateurs suivants : un déficit budgétaire ciblé à 4,9% du PIB, un plancher des recettes fiscales hors recettes hydrocarbures fixé à 3 514 milliards FCfa, un plafond des restes à payer (liquidations non payées) établi à 40 milliards FCfa, un niveau des dépenses sociales fixé à 40% et un plafond de la valeur actuelle des nouveaux emprunts extérieurs du secteur public fixé à 2 326,2 milliards FCfa.
Malgré les défis persistants liés à la conjoncture économique mondiale, le budget 2023 affiche une augmentation des recettes et des dépenses, témoignant d'une gestion budgétaire responsable et d'efforts visant à stimuler l'économie, tout en répondant aux besoins sociaux et aux engagements de l'État.