En effet, j’étais totalement séduit, et je ne fus pas le seul, quand le Ministre des Finances et du Budget , Monsieur Mamadou Moustapha Bâ, a pris la parole pour répondre aux interpellations, à l’allure de forte provocation de nos collègues députés de l’opposition.
Il a su, avec un calme olympien, une maîtrise parfaite de son sujet et un art oratoire des grands rhéteurs, ramener la sérénité dans l’hémicycle ,au moment où tout donnait à croire qu’on allait encore assister à ces scènes de pugilat indignes d’une assemblée dépositaire de la confiance du peuple.
C’était l’illustration parfaite de la citation de Nicolas Boileau :
« Ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. »
Par la magie du verbe, la technicité des arguments développés et la pertinence des exemples choisis, il a dompté toute l’assemblée, même les plus récalcitrants, au point qu’on pouvait entendre les mouches voler au moment de son cours magistral sur le budget.
Toutefois, cette prestation remarquable et remarquée n’a rien d’étonnant pour quelqu’un qui connaît l’homme, Mamadou Moustapha Bâ.
En effet, notre Ministre des Finances et du Budget ne connaît que le Ministère des Finances, qu’il a rejoint très tôt à sa sortie de l’École Nationale d’Économie appliquée en 1991 et où il fera ses armes, avant de rallier la Belgique pour poursuivre son cursus universitaire.
M. Bâ décrochera, successivement un diplôme de politique de développement et un master en gestion et administration publique à l’Institut de politique et de gestion du développement de l’Université d’Anvers, d’où il est sorti major de sa promotion en 1998 et 1999.
De 1992 à 2000, M. Bâ a travaillé en tant que chargé de programmes à la Direction de la Coopération économique et financière (DCEF).
En 2001, il est nommé chef du bureau primaire de la même DCEF, poste qu’il occupera jusqu’en 2006.
En 2007, il devient le directeur-adjoint de la coopération économique et financière, avant d’être porté à la tête de cette direction en mai 2012, jusqu’en octobre 2014.
Pour rappel, il a pris une part très active dans la conception du Plan Sénégal émergent (PSE). Les présentations qu’il a faites du plan d’actions prioritaires, ici au Sénégal, dans les différentes instances et à l’extérieur ,notamment au Groupe consultatif, avait fini de convaincre les plus hautes autorités du talent de cet ancien enfant de troupe.
Nommé à la tête de la Direction générale des Finances en 2014, Mamadou Moustapha Bâ s’est chargé de la gestion des relations de coopération financière avec les collectivités et organismes publics et privés, étrangers ou internationaux.
La recherche de financements nécessaires à la réalisation des investissements publics et la gestion des relations de coopération financière avec les collectivités sont, également, autant de défis que Mamadou Moustapha Bâ a relevés, dans le cadre de ses fonctions à la tête de la Direction générale des Finances.
Ce n’est donc, pour ce fonctionnaire affable, au talent et à la technicité incontestables, que la juste récompense d’un travail qu’il a eu à bien mener sous la direction de l’actuel Premier Ministre Monsieur Amadou BA, alors ministre de l’Economie, des Finances et du Plan.
Nous lui adressons toutes nos félicitations et nos encouragements et prions pour la réussite de cette mission exaltante que le Président Macky Sall lui a confiée.
A ce dernier, nous réitérons également nos félicitations et notre profonde gratitude, pour ce choix éclairé porté en la personne de Monsieur Mamadou Moustapha Bâ et bien d’autres ministres, choix reposant exclusivement sur la compétence et le mérite.
Monsieur le Président, voilà des exemples de ministres qui assurent et qui rassurent et sur qui vous pouvez compter pour l’émergence de notre cher pays, le Sénégal.
Vive le Président Macky Sall !
Vive la République du Sénégal !
* Par Ibrahima Baba Sall
Député-Maire de Bakel.
#ChoixJustifié #IbrahimaBabaSall #MamadouMoustaphaBA
Il a su, avec un calme olympien, une maîtrise parfaite de son sujet et un art oratoire des grands rhéteurs, ramener la sérénité dans l’hémicycle ,au moment où tout donnait à croire qu’on allait encore assister à ces scènes de pugilat indignes d’une assemblée dépositaire de la confiance du peuple.
C’était l’illustration parfaite de la citation de Nicolas Boileau :
« Ce qui se conçoit bien, s’énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément. »
Par la magie du verbe, la technicité des arguments développés et la pertinence des exemples choisis, il a dompté toute l’assemblée, même les plus récalcitrants, au point qu’on pouvait entendre les mouches voler au moment de son cours magistral sur le budget.
Toutefois, cette prestation remarquable et remarquée n’a rien d’étonnant pour quelqu’un qui connaît l’homme, Mamadou Moustapha Bâ.
En effet, notre Ministre des Finances et du Budget ne connaît que le Ministère des Finances, qu’il a rejoint très tôt à sa sortie de l’École Nationale d’Économie appliquée en 1991 et où il fera ses armes, avant de rallier la Belgique pour poursuivre son cursus universitaire.
M. Bâ décrochera, successivement un diplôme de politique de développement et un master en gestion et administration publique à l’Institut de politique et de gestion du développement de l’Université d’Anvers, d’où il est sorti major de sa promotion en 1998 et 1999.
De 1992 à 2000, M. Bâ a travaillé en tant que chargé de programmes à la Direction de la Coopération économique et financière (DCEF).
En 2001, il est nommé chef du bureau primaire de la même DCEF, poste qu’il occupera jusqu’en 2006.
En 2007, il devient le directeur-adjoint de la coopération économique et financière, avant d’être porté à la tête de cette direction en mai 2012, jusqu’en octobre 2014.
Pour rappel, il a pris une part très active dans la conception du Plan Sénégal émergent (PSE). Les présentations qu’il a faites du plan d’actions prioritaires, ici au Sénégal, dans les différentes instances et à l’extérieur ,notamment au Groupe consultatif, avait fini de convaincre les plus hautes autorités du talent de cet ancien enfant de troupe.
Nommé à la tête de la Direction générale des Finances en 2014, Mamadou Moustapha Bâ s’est chargé de la gestion des relations de coopération financière avec les collectivités et organismes publics et privés, étrangers ou internationaux.
La recherche de financements nécessaires à la réalisation des investissements publics et la gestion des relations de coopération financière avec les collectivités sont, également, autant de défis que Mamadou Moustapha Bâ a relevés, dans le cadre de ses fonctions à la tête de la Direction générale des Finances.
Ce n’est donc, pour ce fonctionnaire affable, au talent et à la technicité incontestables, que la juste récompense d’un travail qu’il a eu à bien mener sous la direction de l’actuel Premier Ministre Monsieur Amadou BA, alors ministre de l’Economie, des Finances et du Plan.
Nous lui adressons toutes nos félicitations et nos encouragements et prions pour la réussite de cette mission exaltante que le Président Macky Sall lui a confiée.
A ce dernier, nous réitérons également nos félicitations et notre profonde gratitude, pour ce choix éclairé porté en la personne de Monsieur Mamadou Moustapha Bâ et bien d’autres ministres, choix reposant exclusivement sur la compétence et le mérite.
Monsieur le Président, voilà des exemples de ministres qui assurent et qui rassurent et sur qui vous pouvez compter pour l’émergence de notre cher pays, le Sénégal.
Vive le Président Macky Sall !
Vive la République du Sénégal !
* Par Ibrahima Baba Sall
Député-Maire de Bakel.
#ChoixJustifié #IbrahimaBabaSall #MamadouMoustaphaBA