À Koumpentoum, dans la région de Tambacounda, des populations pour la plupart des jeunes, sont sorties hier dans la rue pour réclamer la libération d’individus arrêtés le 26 février dernier. Amadou Woury Barry, le coordonnateur du mouvement Frapp Niani-Bambouck fait partie des individus en détention, pour lesquels les manifestants s’activent.
Mais d’autres individus qui ont été arrêtés en train de manifester ou de saccager, font également l'objet d'une exigence d’élargissement, nous dit « Tribune ».
Ils ont été tous inculpés pour participation à un rassemblement interdit et trouble à l’ordre public et placés sous mandat de dépôt. Mais, pour leurs défenseurs- manifestants, ce sont des "otages politiques" qu’il faut libérer sans condition.
Selon un des organisateurs contacté, «la marche est organisée pour la libération sans condition de tous les otages politiques».
Pour rappel, le 26 février dernier, des arrestations ont eu lieu dans divers endroits du pays, suite à des manifestations contestant la convocation d’Ousmane Sonko et soutenant son refus de répondre à la gendarmerie. Quelques jours après, soit le 3 mars dernier et jours suivants où Ousmane Sonko est allé répondre au juge, d’autres arrestations seront opérées sur des manifestants et des pilleurs qui sont depuis lors, en détention.
Mais d’autres individus qui ont été arrêtés en train de manifester ou de saccager, font également l'objet d'une exigence d’élargissement, nous dit « Tribune ».
Ils ont été tous inculpés pour participation à un rassemblement interdit et trouble à l’ordre public et placés sous mandat de dépôt. Mais, pour leurs défenseurs- manifestants, ce sont des "otages politiques" qu’il faut libérer sans condition.
Selon un des organisateurs contacté, «la marche est organisée pour la libération sans condition de tous les otages politiques».
Pour rappel, le 26 février dernier, des arrestations ont eu lieu dans divers endroits du pays, suite à des manifestations contestant la convocation d’Ousmane Sonko et soutenant son refus de répondre à la gendarmerie. Quelques jours après, soit le 3 mars dernier et jours suivants où Ousmane Sonko est allé répondre au juge, d’autres arrestations seront opérées sur des manifestants et des pilleurs qui sont depuis lors, en détention.