"Depuis 1992, il y a eu une période de précampagne, mais jamais il n'a été interdit de manifester durant cette période", explique l'ancien maire de Dakar. Revenant sur la journée du 17 juin dernier, Khalifa Sall considère que c'était un jour de "djihad" (guerre sainte). Donc, les jeunes qui y ont trouvé la mort sont "tombés sur le champ d'honneur".
Ailleurs, il affirme que l'objet de cette manifestation était un moyen de lutter pour les libertés : "Il s'agit d'une question de principes et de droits". Khalifa Sall a, en outre, déclaré que la manifestation du vendredi dernier était "un véritable succès". "Même si nous n'avons pas été à la place de la Nation, il y a bien eu des manifestations dans plusieurs localités de ce pays".
Docteur Cheikh Tidiane Dièye, membre de Yaw, a annoncé des poursuites judiciaires. "Nous allons prendre la lettre écrite par Macky Sall le premier février 2011, changer la signature, le nombre de morts et la date, puis l'envoyer au Haut-Commissariat des Nations-Unies. Et, nous allons saisir aussi la Cour pénale internationale à titre préventif, pour avertir la communauté internationale", promet Cheikh Tidiane Dièye.
Ainsi, les membres de la coalition Yewwi ont exigé la libération des "200 otages". Il s'agit de personnes arrêtées entre le vendredi 17 et le samedi 18 juin 2022. Parmi elles, figurent les députés Déthié Fall, par ailleurs mandataire de la coalition Yaw et la députée Mame Diarra Fam.
Ailleurs, il affirme que l'objet de cette manifestation était un moyen de lutter pour les libertés : "Il s'agit d'une question de principes et de droits". Khalifa Sall a, en outre, déclaré que la manifestation du vendredi dernier était "un véritable succès". "Même si nous n'avons pas été à la place de la Nation, il y a bien eu des manifestations dans plusieurs localités de ce pays".
Docteur Cheikh Tidiane Dièye, membre de Yaw, a annoncé des poursuites judiciaires. "Nous allons prendre la lettre écrite par Macky Sall le premier février 2011, changer la signature, le nombre de morts et la date, puis l'envoyer au Haut-Commissariat des Nations-Unies. Et, nous allons saisir aussi la Cour pénale internationale à titre préventif, pour avertir la communauté internationale", promet Cheikh Tidiane Dièye.
Ainsi, les membres de la coalition Yewwi ont exigé la libération des "200 otages". Il s'agit de personnes arrêtées entre le vendredi 17 et le samedi 18 juin 2022. Parmi elles, figurent les députés Déthié Fall, par ailleurs mandataire de la coalition Yaw et la députée Mame Diarra Fam.