Moustapha Niasse et ses camarades, qui ont tenu leur réunion hebdomadaire avant-hier, pensent que ces manifs devraient constituer une opportunité à saisir pour décrypter le signal des populations en colère. Considérant ces dernières comme des « laissées pour compte », l’Afp est d’avis que « ces émeutes d’un type nouveau sont annonciatrices de développements ultérieurs, qui peuvent aboutir au chaos, si jamais le régime ne se résout pas à traiter enfin le malaise profond qui a gagné les populations, la société et le pays dans son intégralité ».
S’agissant de la crise financière internationale, l’Afp accuse le gouvernement d’être responsable pour ce qui concerne le Sénégal. « C’est lui qui, par manque de rigueur avec le gaspillage et le pilotage à vue, a bouleversé les équilibres macro-économiques ; ce qui a provoqué les tensions que connaît le Trésor public et la reconstitution de la dette publique », soulignent les progressistes.
Ils s’offusquent du fait qu’après l’emprunt obligataire de ces derniers mois, le régime s’apprêterait à en lancer un autre alors que, note le communiqué, « la confiance, facteur déterminant en la matière, n’est pas revenue ». « Ce projet fait suite à un échec du pouvoir actuel, dans sa volonté d’obtenir, auprès de partenaires bilatéraux, des prêts à des conditions favorables », indiquent-ils.
S’agissant de la crise financière internationale, l’Afp accuse le gouvernement d’être responsable pour ce qui concerne le Sénégal. « C’est lui qui, par manque de rigueur avec le gaspillage et le pilotage à vue, a bouleversé les équilibres macro-économiques ; ce qui a provoqué les tensions que connaît le Trésor public et la reconstitution de la dette publique », soulignent les progressistes.
Ils s’offusquent du fait qu’après l’emprunt obligataire de ces derniers mois, le régime s’apprêterait à en lancer un autre alors que, note le communiqué, « la confiance, facteur déterminant en la matière, n’est pas revenue ». « Ce projet fait suite à un échec du pouvoir actuel, dans sa volonté d’obtenir, auprès de partenaires bilatéraux, des prêts à des conditions favorables », indiquent-ils.