Ces manoeuvres vont associer jusqu`au 3 janvier "1.600" militaires ivoiriens et "414" soldats libériens, a indiqué à l`AFP une source ivoirienne proche de l`opération.
Les militaires doivent effectuer des patrouilles terrestres entre les villes ivoiriennes de Taï et Toulépleu, distantes d`environ 130 km le long de la frontière avec le Liberia, ainsi que des patrouilles sur le fleuve Cavally, frontière naturelle entre les deux pays, a-t-elle précisé.
Les patrouilles doivent permettre de "sécuriser la frontière commune, fouiller et assainir la zone pour mettre fin aux bandes armées, pour qu`elles n`aient plus un libre accès à la zone", a expliqué la même source.
Le président ivoirien Alassane Ouattara et son homologue libérienne Ellen Johnson Sirleaf avaient annoncé ces "manoeuvres militaires et sécuritaires communes" à l`issue d`une rencontre à Abidjan mi-octobre.
Depuis la fin de la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011 ayant fait environ 3.000 morts, l`ouest de la Côte d`Ivoire a été le théâtre d`attaques sanglantes menées souvent par des groupes armés venus de l`est du Liberia.
Le régime Ouattara a accusé des partisans de l`ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, mais le camp Gbagbo a nié toute implication.
Une accalmie a été observée depuis quelques mois sur le front ouest, mais le pouvoir ivoirien fait face depuis août à une vague d`attaques contre ses forces de sécurité et des sites sensibles, principalement à Abidjan et dans sa région. Deux nouvelles attaques, dont une dans la capitale économique, ont fait le 21 décembre au moins un mort et quatre blessés.
Les militaires doivent effectuer des patrouilles terrestres entre les villes ivoiriennes de Taï et Toulépleu, distantes d`environ 130 km le long de la frontière avec le Liberia, ainsi que des patrouilles sur le fleuve Cavally, frontière naturelle entre les deux pays, a-t-elle précisé.
Les patrouilles doivent permettre de "sécuriser la frontière commune, fouiller et assainir la zone pour mettre fin aux bandes armées, pour qu`elles n`aient plus un libre accès à la zone", a expliqué la même source.
Le président ivoirien Alassane Ouattara et son homologue libérienne Ellen Johnson Sirleaf avaient annoncé ces "manoeuvres militaires et sécuritaires communes" à l`issue d`une rencontre à Abidjan mi-octobre.
Depuis la fin de la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011 ayant fait environ 3.000 morts, l`ouest de la Côte d`Ivoire a été le théâtre d`attaques sanglantes menées souvent par des groupes armés venus de l`est du Liberia.
Le régime Ouattara a accusé des partisans de l`ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, mais le camp Gbagbo a nié toute implication.
Une accalmie a été observée depuis quelques mois sur le front ouest, mais le pouvoir ivoirien fait face depuis août à une vague d`attaques contre ses forces de sécurité et des sites sensibles, principalement à Abidjan et dans sa région. Deux nouvelles attaques, dont une dans la capitale économique, ont fait le 21 décembre au moins un mort et quatre blessés.