«Je salue cette belle mobilisation du PDS et de ses alliés. Cela traduit la vitalité de la démocratie sénégalaise », souligne-t-il. Cependant, Mansour Ndiaye estime que Me Abdoulaye doit arrêter compte tenu de son âge trop avancé et de laisser la place aux jeunes du PDS à mener le combat de l’opposition.
« C’est regrettable de voir Abdoulaye Wade qui est en train de fournir beaucoup d’énergies alors qu’il n’en a plus. Sûr que si Karim Wade était là, il allait dire à son père d’arrêter. Des libéraux eux-mêmes doivent inviter Me Abdoulaye Wade d’arrêter afin d’engager des réformes en leur sein», déclare-t-il.
Sur les révélations de l’ancien chef de l’Etat Abdoulaye Wade lors du meeting de vendredi dernier, Mansour Ndiaye estime que «le pouvoir en place doit apporter des éclairages avant même le sommet de la Francophonie d’autant plus qu’elles (révélations) ont semé de doutes au sein de l’opinion sénégalaise » ; allusion faite à l’affaire de Acelor Mittal et à celle de Pétro Tim.
S’agissant du prochain sommet de la Francophonie, Mansour Ndiaye soutient que «si elle (francophonie) nous empêche à faire quelque chose, si elle est la continuation du colonialisme ; je dis non ! La francophonie doit s’orienter vers le développement. En tant qu’Etat nous devons sortir du joug de la francophonie pour faire la promotion de nos langues,… ».
Évoquant le tollé général soulevé par «Abdou Diouf – Mémoires», Mansour Ndiaye se convainc du caractère violent du système politique sénégalais. C’est pourquoi, il invite les jeunes à le moraliser.
Ferloo
« C’est regrettable de voir Abdoulaye Wade qui est en train de fournir beaucoup d’énergies alors qu’il n’en a plus. Sûr que si Karim Wade était là, il allait dire à son père d’arrêter. Des libéraux eux-mêmes doivent inviter Me Abdoulaye Wade d’arrêter afin d’engager des réformes en leur sein», déclare-t-il.
Sur les révélations de l’ancien chef de l’Etat Abdoulaye Wade lors du meeting de vendredi dernier, Mansour Ndiaye estime que «le pouvoir en place doit apporter des éclairages avant même le sommet de la Francophonie d’autant plus qu’elles (révélations) ont semé de doutes au sein de l’opinion sénégalaise » ; allusion faite à l’affaire de Acelor Mittal et à celle de Pétro Tim.
S’agissant du prochain sommet de la Francophonie, Mansour Ndiaye soutient que «si elle (francophonie) nous empêche à faire quelque chose, si elle est la continuation du colonialisme ; je dis non ! La francophonie doit s’orienter vers le développement. En tant qu’Etat nous devons sortir du joug de la francophonie pour faire la promotion de nos langues,… ».
Évoquant le tollé général soulevé par «Abdou Diouf – Mémoires», Mansour Ndiaye se convainc du caractère violent du système politique sénégalais. C’est pourquoi, il invite les jeunes à le moraliser.
Ferloo