Cet accueil triomphal est le fruit d’une entente cordiale des différentes formations politiques départementales. Amadou Bâ ne manque pas de le souligner dans son speech, affirmant ainsi que «Tivaouane est un symbole de solidarité, d’unité et d’engagement des hommes et femmes politiques locaux».
En tout, cas l’intercoalition qu’elle a réussi à mettre en place, avec Samm Sa Kaddu et Jamm ak Njarin, est une véritable force de frappe. Elle est, à coup sûr, une machine électorale qui broiera tout sur son passage, au soir du 17 mars 2024.
Naturellement, dans la capitale de la Tijanya au Sénégal, le président Bâ a évoqué la question religieuse et confrérique, comme pour rester dans l’esprit de Tivaouane, de ce qui la fonde, construit son histoire et la fait vivre depuis toujours. «L’héritage de nos guides religieux et valeureux ancêtres, sont les socles de notre nation. On ne laissera personne le saper.»
Décidément, comme s’il avait bouffé du lion face à une assistance qui n’a d’yeux que pour lui, l’ancien Premier ministre se lâche : «Encourager la transhumance, après seulement sept mois au pouvoir, est inquiétant. Je crois connaître la raison. Ils le font, parce qu’ils ne sont pas sûr de leur victoire dans ces joutes électorales. Ils ont déconstruit, démoli et détérioré toutes les bases de notre économie, tout le tissu social. Plongeant les populations dans des difficultés jamais connues».
Le président de la Nouvelle Responsabilité y va crescendo, enchaînant avec la même verve: «Un gouvernement incapable de trouver du travail aux jeunes, de mettre en place des initiatives porteuses de développement, de régler les questions liées à l’éducation, à la santé et à tout ce qui structure la vie des citoyens, ne mérite pas votre confiance. Un gouvernement qui excelle dans la délation, la dénonciation calomnieuse et les contrevérités, ne doit pas contrôler le Parlement».
Avant de dérouler le tapis rouge à Amadou Bâ et sa caravane, la foule trouvée à Tivaouane avait reçu et écouté Barthélemy Dias, Bougane Guéye Dany, Anta Babacar Ngom, Thierno Bocoum et les responsables du PUR.
En tout, cas l’intercoalition qu’elle a réussi à mettre en place, avec Samm Sa Kaddu et Jamm ak Njarin, est une véritable force de frappe. Elle est, à coup sûr, une machine électorale qui broiera tout sur son passage, au soir du 17 mars 2024.
Naturellement, dans la capitale de la Tijanya au Sénégal, le président Bâ a évoqué la question religieuse et confrérique, comme pour rester dans l’esprit de Tivaouane, de ce qui la fonde, construit son histoire et la fait vivre depuis toujours. «L’héritage de nos guides religieux et valeureux ancêtres, sont les socles de notre nation. On ne laissera personne le saper.»
Décidément, comme s’il avait bouffé du lion face à une assistance qui n’a d’yeux que pour lui, l’ancien Premier ministre se lâche : «Encourager la transhumance, après seulement sept mois au pouvoir, est inquiétant. Je crois connaître la raison. Ils le font, parce qu’ils ne sont pas sûr de leur victoire dans ces joutes électorales. Ils ont déconstruit, démoli et détérioré toutes les bases de notre économie, tout le tissu social. Plongeant les populations dans des difficultés jamais connues».
Le président de la Nouvelle Responsabilité y va crescendo, enchaînant avec la même verve: «Un gouvernement incapable de trouver du travail aux jeunes, de mettre en place des initiatives porteuses de développement, de régler les questions liées à l’éducation, à la santé et à tout ce qui structure la vie des citoyens, ne mérite pas votre confiance. Un gouvernement qui excelle dans la délation, la dénonciation calomnieuse et les contrevérités, ne doit pas contrôler le Parlement».
Avant de dérouler le tapis rouge à Amadou Bâ et sa caravane, la foule trouvée à Tivaouane avait reçu et écouté Barthélemy Dias, Bougane Guéye Dany, Anta Babacar Ngom, Thierno Bocoum et les responsables du PUR.