On lui reproche souvent son habillement sexy. Parce qu’il faut le dire la chanteuse Mariama Ba adore présenter un balcon bien garni, des Hanches bien dotées ou en outre un décolleté qui affiche un dos tout à fait nu. Et ce, dans ses clips et autres sorties. Une attitude que parfois certains ne manquent pas de lui signifier .
En guise de réponse, l’artiste à cheval entre les toucouleurs et les sérères prétend un désir de se valoriser en mettant par conséquent son corps en évidence. Une question se pose alors; l’accoutrement fait-il l’artiste ?
A dire qu’elle n’est cependant pas allé jusqu’à vouloir se déshabiller pour prouver ses rondeurs comme l’avait prévu la reine du Djoloff band, mais Mariama Ba est très généreuse quand il s’agit de « vendre » ses formes.
Cependant l’honnêteté voudrait que l’on dise que le coté sexy n’est pas seulement le côté fort de cette artiste qui fait parti de cette nouvelle génération qui ne cesse de monter en pompe. Elle a son actif un album et quatre clips qui crèvent les écrans. Les titres les plus connus sont riches en mélodies et plein de sens.
Entre autres, « defma ni sa dome » fait étalage de ses beaux pères qui font de leurs belles filles leurs objets sexuels. A ces derniers elle demande de les considérer comme leurs propres enfants. « Yaye Sama chéri » chante l’amour sur l’angle de l’épouse modèle qui fait éloge à son homme tout en lui signifiant sa conscience de la dureté de gérer un foyer. « Ngoulok »ou mariage en langue sérère est un conseil à une nouvelle mariée appelée à rejoindre le domicile conjugal.
Et Enfin Djobass ou le retour aux sources. Ici la chanteuse se souvient de sa tendre enfance dans le village sérère avec sa grand-mère. Une occasion saisie pour rappeler les coutumes et traditions de cette localité qui a bercé une partie de son enfance. Comme pour dire il faut connaitre sa base pour mieux sauter. Autrement dit Mariama Ba a de la valeur à montrer dans la musique, son départ sonnant déjà bien. Elle n’a pas que ses seins à vendre.
Buzz.sn
En guise de réponse, l’artiste à cheval entre les toucouleurs et les sérères prétend un désir de se valoriser en mettant par conséquent son corps en évidence. Une question se pose alors; l’accoutrement fait-il l’artiste ?
A dire qu’elle n’est cependant pas allé jusqu’à vouloir se déshabiller pour prouver ses rondeurs comme l’avait prévu la reine du Djoloff band, mais Mariama Ba est très généreuse quand il s’agit de « vendre » ses formes.
Cependant l’honnêteté voudrait que l’on dise que le coté sexy n’est pas seulement le côté fort de cette artiste qui fait parti de cette nouvelle génération qui ne cesse de monter en pompe. Elle a son actif un album et quatre clips qui crèvent les écrans. Les titres les plus connus sont riches en mélodies et plein de sens.
Entre autres, « defma ni sa dome » fait étalage de ses beaux pères qui font de leurs belles filles leurs objets sexuels. A ces derniers elle demande de les considérer comme leurs propres enfants. « Yaye Sama chéri » chante l’amour sur l’angle de l’épouse modèle qui fait éloge à son homme tout en lui signifiant sa conscience de la dureté de gérer un foyer. « Ngoulok »ou mariage en langue sérère est un conseil à une nouvelle mariée appelée à rejoindre le domicile conjugal.
Et Enfin Djobass ou le retour aux sources. Ici la chanteuse se souvient de sa tendre enfance dans le village sérère avec sa grand-mère. Une occasion saisie pour rappeler les coutumes et traditions de cette localité qui a bercé une partie de son enfance. Comme pour dire il faut connaitre sa base pour mieux sauter. Autrement dit Mariama Ba a de la valeur à montrer dans la musique, son départ sonnant déjà bien. Elle n’a pas que ses seins à vendre.
Buzz.sn