Tout le calvaire de Mariama Diouf commence le jour où elle repassait au gaz butane et que son voile mauritanien a pris feu avant de se répandre dans la quasi-totalité de son corps. Elle raconte : « L’accident a eu lieu dans le premier semestre de l’année 2008. Je ne me rappelle plus avec exactitude la date. Ce jour là, je faisais du repassage et j’étais seule à la maison, dans mon domicile conjugal à Mbour. Je portais un voile mauritanien et c’est le voile qui, sans que je m’en rende compte a pris feu. » Elle poursuit : « en fait, je repassais au gaz butane et le tissu s’est embrasé d’un coup. Je tournais le dos au gaz. J’étais seule à la maison, sans assistance. Je me suis débattue avec mon habit en flammes, j’ai essayé de l’enlever et c’est ce qui a accentué les brûlures » se confie Mariama Diouf. Par la suite, elle tombée évanouie du fait de l’effet de la douleur. Elle ne se réveillera une fois qu’à l’hôpital Aristide Le Dantec où elle a fait un mois pour des soins intensifs.
Son mari qui la prenait en charge a estimé qu’elle devait quitter Dakar pour dit-il, continuer de prendre les soins à Mbour. Ce que, selon Mariama, qui a accordé un entretien marathon à Weekend Magazine, Moustapha Diagne a fait. Mais ce n’est pas sans heurts et calomnies à en croire Mari Diouf. Moustapha Diagne lui faisait des reproches à tout bout de champ. Il lui balancait à la figure que son corps dégageait une odeur nauséabonde. . « Il disait que je puais, que je n’avais qu’à rentrer chez mes parents car je ne pouvais rester chez lui dans cet état » renchérit la Mbouroise atteinte dans sa dignité. C’est dix jours après que son mari l’a répudiée et sans témoin crédibles aux yeux de Mariama. Mais rien n’y fit. Les narines de Moustapha ne pouvaient continuer à inhaler le « parfum » de sa femme.
Cette dernière rentrée chez elle, ne baissa pas les bras. Elle sera mise en rapport avec des européens qui l’ont soutenue dans ses soins mais les coûts était tellement élevés qu’elle n’a pu les poursuivre. C’est alors qu’elle jeta son dévolu sur ses frères et sœurs qui l’aidèrent. Mais, contre toute attente, celui qui avait répudiée sa femme parce que cette dernière puait, rejaillit on ne sait d’où et continuait de fréquenter et voulait même avoir des rapports sexuels avec elle. Ce que Mariama qui ne veut plus entendre parler de son mari, refuse catégoriquement. Elle dit : « il était proie à des remords et regrettait son geste. Après mon retour chez mes parents, il venait souvent me voir avec l’intention de passer la nuit ici, avec moi. Ce que j’ai toujours refusé » se défend Marie Diouf.
C’est dans ce tempérament qu’elle aborde le sujet qui fâche. Sa relation avec le Mbacké-mbacké dont son mari l’accuse de forniquer avec lui. Mariama se débine et balaie ces accusations qu’elle qualifie de commérages. Elle vitupère : « je n’ai jamais couché avec le Mbacké-Mbacké dont on parle. Vu mon état de santé, je ne peux entretenir de rapports charnels avec personne. » Celle qui a qui a perdu son travail de serveuse à l’hôtel Palm Beach poursuit : « Je n’ai même pas la tête à ça. Même pour me coucher, c’est pénible. Les articulations de ma main sont crispées, ma propre chaleur m’étouffe. Alors ne serait-ce que penser qu’un homme me touche m’est insupportable. »
Son mari qui la prenait en charge a estimé qu’elle devait quitter Dakar pour dit-il, continuer de prendre les soins à Mbour. Ce que, selon Mariama, qui a accordé un entretien marathon à Weekend Magazine, Moustapha Diagne a fait. Mais ce n’est pas sans heurts et calomnies à en croire Mari Diouf. Moustapha Diagne lui faisait des reproches à tout bout de champ. Il lui balancait à la figure que son corps dégageait une odeur nauséabonde. . « Il disait que je puais, que je n’avais qu’à rentrer chez mes parents car je ne pouvais rester chez lui dans cet état » renchérit la Mbouroise atteinte dans sa dignité. C’est dix jours après que son mari l’a répudiée et sans témoin crédibles aux yeux de Mariama. Mais rien n’y fit. Les narines de Moustapha ne pouvaient continuer à inhaler le « parfum » de sa femme.
Cette dernière rentrée chez elle, ne baissa pas les bras. Elle sera mise en rapport avec des européens qui l’ont soutenue dans ses soins mais les coûts était tellement élevés qu’elle n’a pu les poursuivre. C’est alors qu’elle jeta son dévolu sur ses frères et sœurs qui l’aidèrent. Mais, contre toute attente, celui qui avait répudiée sa femme parce que cette dernière puait, rejaillit on ne sait d’où et continuait de fréquenter et voulait même avoir des rapports sexuels avec elle. Ce que Mariama qui ne veut plus entendre parler de son mari, refuse catégoriquement. Elle dit : « il était proie à des remords et regrettait son geste. Après mon retour chez mes parents, il venait souvent me voir avec l’intention de passer la nuit ici, avec moi. Ce que j’ai toujours refusé » se défend Marie Diouf.
C’est dans ce tempérament qu’elle aborde le sujet qui fâche. Sa relation avec le Mbacké-mbacké dont son mari l’accuse de forniquer avec lui. Mariama se débine et balaie ces accusations qu’elle qualifie de commérages. Elle vitupère : « je n’ai jamais couché avec le Mbacké-Mbacké dont on parle. Vu mon état de santé, je ne peux entretenir de rapports charnels avec personne. » Celle qui a qui a perdu son travail de serveuse à l’hôtel Palm Beach poursuit : « Je n’ai même pas la tête à ça. Même pour me coucher, c’est pénible. Les articulations de ma main sont crispées, ma propre chaleur m’étouffe. Alors ne serait-ce que penser qu’un homme me touche m’est insupportable. »
Qu’est ce qui explique la présence du marabout dans sa chambre aux environs de 21 heures ? Mariama avance les raisons de la venue de Khadim Mbacké qui est un ami d’un de ses frères qui est décédé il y a deux ans de cela. Et Tapha qui continuait de fréquenter son épouse, les trouva dans la chambre avant de piquer une colère. Elle raconte : « Khadim qui était un ami de mon défunt frère, décédé en 2007, est venu à la maison pour présenter ses condoléances. Il en a profité pour me rendre visite, car, il était au courant que j’avais eu un accident. Tapha nous a trouvé dans la chambre et j’ai fait les présentations. Tapha est resté un bon moment sans rien dire et puis subitement, il a pris Khadim au collet, lui enjoignant l’ordre, l’injure à la bouche, de quitter la chambre, c’est comme cela que le scandale a débuté. » Mais Khadim ne suit pas le mari coléreux et gagné par la jalousie dans ses agissements car l’ayant pris pour un demeuré. Une fois dehors, Moustapha Diagne qui travaille comme conseiller financier à la mairie de Mbour, récidive. Ce fut la goutte d’eau de trop. Le marabout répliqua en lui assenant un coup à l’œil gauche. Et ce devant Mariama Diouf et les autres membres de sa famille.
Moustapha Diagne muni d’un certificat médical attestant d’une incapacité temporaire de travail de 21 jours, est allé porter plainte auprès du délégué du Procureur de Mbour. L’enquête est confiée au commissaire Mandiogou Leye qui s’active pour faire la lumière dans cette affaire. Mariama est entendue par les limiers pendant trois tours d’horloge avant d’être relâchée. Khadim Mbacké est appréhendé et déféré au parquet avant de recouvrer la liberté quelques jours plus tard. Et depuis, Mariama a tout simplement coupé les ponts avec son mari. Elle renseigne que la procédure de divorce est en cours et elle veut en finir une bonne fois pour toute avec Tapha. Non sans demander aux bonnes volonté de lui en venir en aide afin qu’elle retrouve tous ses moyens pour recommencer à travailler car son poste est resté vacant.
Rappelons que c’est suite à l’arrestation de Khadim Mbacké que 35 policiers du poste de police de Diamaguene furent affectés dans d’autres commissariats du pays. Et selon L’observateur, même le commissaire Mandiogou Leye n’a pas échappé à ce grand balayage car il doit se rendre en Espagne pour une mission dans le cadre du Frontex
Photos : Weekend Magazine/galsentv.com
Moustapha Diagne muni d’un certificat médical attestant d’une incapacité temporaire de travail de 21 jours, est allé porter plainte auprès du délégué du Procureur de Mbour. L’enquête est confiée au commissaire Mandiogou Leye qui s’active pour faire la lumière dans cette affaire. Mariama est entendue par les limiers pendant trois tours d’horloge avant d’être relâchée. Khadim Mbacké est appréhendé et déféré au parquet avant de recouvrer la liberté quelques jours plus tard. Et depuis, Mariama a tout simplement coupé les ponts avec son mari. Elle renseigne que la procédure de divorce est en cours et elle veut en finir une bonne fois pour toute avec Tapha. Non sans demander aux bonnes volonté de lui en venir en aide afin qu’elle retrouve tous ses moyens pour recommencer à travailler car son poste est resté vacant.
Rappelons que c’est suite à l’arrestation de Khadim Mbacké que 35 policiers du poste de police de Diamaguene furent affectés dans d’autres commissariats du pays. Et selon L’observateur, même le commissaire Mandiogou Leye n’a pas échappé à ce grand balayage car il doit se rendre en Espagne pour une mission dans le cadre du Frontex
Photos : Weekend Magazine/galsentv.com