Comme l’a bien dit le canard de Madiambal Diagne, Le Premier ministre, Mimi Touré a décidé d’introduire la Première Dame Marième Faye Sall dans la bataille de l’opinion. Blanchie sous le harnais, Mimi Touré sait bien que pour gagner une bataille en politique, il est nécessaire et vital d’avoir l’opinion de son côté. Et pour arriver à cela, Mimi a décidé de jouer à fond la carte de la victimisation qui capte plus facilement l’attention de l’opinion publique.
Mais l’auto-victimisation n’est pas une chose simple. Une personne peut se considérer comme victime de causes externes à soi afin de ne pas avoir à assumer ses propres échecs de vie. La victimisation est parfois utilisée comme arme médiatique, en politique, pour arriver à ses fins avec le coup de pouce de l’opinion.
La victimisation peut, aussi, dans certains cas, être suscitée par un comportement malsain où la personne s’en sert comme un moyen pour obtenir, avec manipulation, un avantage ou pour arriver à ses fins en utilisant l’image d’une fausse victime.
Nous croyons savoir que ce n’est pas la Première Dame Marième Faye qui a demandé au Premier ministre Mimi Touré de se présenter contre Khalifa Sall pour être finalement laminée comme elle l’a été , lors des Locales 2014, à Grand Yoff. Ce qui devait la pousser à démissionner comme cela se fait souvent dans les grandes démocraties, après un échec lors d’élections.
En politique, dit-on, les échecs se payent cash. Mais Mimi fait fi de cette certitude en cherchant vaille que vaille des boucs émissaires comme Marième faye Sall qui n’a, peut être, que le tort d’être l’épouse de celui qui tient les manettes de la République. Distiller des rumeurs, non fondées, tendant à jeter le discrédit sur la Première Dame et à l’exposer à la vindicte populaire, ne saurait grandir celle que Macky Sall a sortie des ténèbres de l’anonymat. Même si elle arrivait à rester à son poste de Premier ministre, comment elle va pouvoir regarder Marième Faye, les yeux dans les yeux.
Il faut côtoyer la Première Dame, souvent décrite dans la presse sous un prisme déformant, pour saisir sa véritable personnalité.
Mansour DIENG (© Gawlo.net)
Mais l’auto-victimisation n’est pas une chose simple. Une personne peut se considérer comme victime de causes externes à soi afin de ne pas avoir à assumer ses propres échecs de vie. La victimisation est parfois utilisée comme arme médiatique, en politique, pour arriver à ses fins avec le coup de pouce de l’opinion.
La victimisation peut, aussi, dans certains cas, être suscitée par un comportement malsain où la personne s’en sert comme un moyen pour obtenir, avec manipulation, un avantage ou pour arriver à ses fins en utilisant l’image d’une fausse victime.
Nous croyons savoir que ce n’est pas la Première Dame Marième Faye qui a demandé au Premier ministre Mimi Touré de se présenter contre Khalifa Sall pour être finalement laminée comme elle l’a été , lors des Locales 2014, à Grand Yoff. Ce qui devait la pousser à démissionner comme cela se fait souvent dans les grandes démocraties, après un échec lors d’élections.
En politique, dit-on, les échecs se payent cash. Mais Mimi fait fi de cette certitude en cherchant vaille que vaille des boucs émissaires comme Marième faye Sall qui n’a, peut être, que le tort d’être l’épouse de celui qui tient les manettes de la République. Distiller des rumeurs, non fondées, tendant à jeter le discrédit sur la Première Dame et à l’exposer à la vindicte populaire, ne saurait grandir celle que Macky Sall a sortie des ténèbres de l’anonymat. Même si elle arrivait à rester à son poste de Premier ministre, comment elle va pouvoir regarder Marième Faye, les yeux dans les yeux.
Il faut côtoyer la Première Dame, souvent décrite dans la presse sous un prisme déformant, pour saisir sa véritable personnalité.
Mansour DIENG (© Gawlo.net)