Aujourd'hui que les télévisions ne misent plus sur ce type d'émissions, elle pense qu' "il devrait y avoir plus d'émissions enfantines dans tous les médias et plus même au niveau des télévisions"
Parce que poursuit-elle, pour retenir l'attention des enfants, il faut que l'image accompagne les paroles. Même si l'animatrice de "Koti Koti" est d'avis que les dessins animés éveillent, elle trouve qu' "il faut créer pour les enfants des émissions qui collent aux normes culturelles traditionnelles. Je fais tout pour qu'on ait au moins une émission enfantine à la télévision nationale. Mais c'est vrai que ça ne suffit pas du tout".
Revenant sur "La télé est à nous", une émission très suivie à l'époque, M.Samb explique que "le concept n'a pas trop changé. On a juste revu et corriger et on a ajouté certains éléments. Le but est toujours d'informer, de divertir et un peu de renforcer les connaissances culturelles des enfants".
Elle indique par ailleurs ne pas "baisser les bras pour la promotion de telles émissions". Mais elle préfère "attendre quelque part que les moyens suivent pour revenir en force. Mais si l'attente devient longue, on fait avec ce qu'on a sous les bras", a-t-elle fait savoir dans le Populaire.
Parce que poursuit-elle, pour retenir l'attention des enfants, il faut que l'image accompagne les paroles. Même si l'animatrice de "Koti Koti" est d'avis que les dessins animés éveillent, elle trouve qu' "il faut créer pour les enfants des émissions qui collent aux normes culturelles traditionnelles. Je fais tout pour qu'on ait au moins une émission enfantine à la télévision nationale. Mais c'est vrai que ça ne suffit pas du tout".
Revenant sur "La télé est à nous", une émission très suivie à l'époque, M.Samb explique que "le concept n'a pas trop changé. On a juste revu et corriger et on a ajouté certains éléments. Le but est toujours d'informer, de divertir et un peu de renforcer les connaissances culturelles des enfants".
Elle indique par ailleurs ne pas "baisser les bras pour la promotion de telles émissions". Mais elle préfère "attendre quelque part que les moyens suivent pour revenir en force. Mais si l'attente devient longue, on fait avec ce qu'on a sous les bras", a-t-elle fait savoir dans le Populaire.