Venus au Maroc pour une enquête sur la situation des migrants et demandeurs d’asile, deux chercheurs d’Amnesty International ont été expulsés par les autorités qui leur reprochent d’être entrés dans le pays sans être munis d’un visa.
Les autorités marocaines ont demandé à l’équipe d’Amnesty International d’interrompre leurs travaux de recherche jusqu’à ce que soit trouvé un compromis. L’organisation se défend d’avoir sollicité et obtenu l’accord verbal et écrit auprès des autorités marocaines compétentes sur la visite de ces deux chercheurs. Ces derniers ont été entendus par la police, individuellement, avant d’être expulsés l’un vers Londres et l’autre vers Paris. L’expulsion de ses membres du Maroc fait que l’organisation soupçonne que les autorités marocaines « ont quelque chose à cacher ».
Accusé par les organisations de défense des droits humains sur le traitement réservé aux migrants et demandeurs d’asile, le Maroc est sur le point de régulariser la situation de 27 000 migrants se trouvant sur son sol, en leur octroyant des titres de séjour.
afrik.com
Les autorités marocaines ont demandé à l’équipe d’Amnesty International d’interrompre leurs travaux de recherche jusqu’à ce que soit trouvé un compromis. L’organisation se défend d’avoir sollicité et obtenu l’accord verbal et écrit auprès des autorités marocaines compétentes sur la visite de ces deux chercheurs. Ces derniers ont été entendus par la police, individuellement, avant d’être expulsés l’un vers Londres et l’autre vers Paris. L’expulsion de ses membres du Maroc fait que l’organisation soupçonne que les autorités marocaines « ont quelque chose à cacher ».
Accusé par les organisations de défense des droits humains sur le traitement réservé aux migrants et demandeurs d’asile, le Maroc est sur le point de régulariser la situation de 27 000 migrants se trouvant sur son sol, en leur octroyant des titres de séjour.
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