Avez-vous rencontré des difficultés lors de la collecte de parrains ?
Nous sommes très modestes dans le discours, surtout que c’est une donnée à remplir pour être candidat. Nous faisons tout pour réussir, car nous avons des difficultés. Nous avons fait beaucoup de villages, ce qui nous a permis d’avoir plus de 2000 parrains et c’est positif. Nous avons eu des difficultés, car en cette période, nous avons une situation à revoir.
Les formations politiques qui remplissent les conditions d’avoir le nombre de maires, de conseillers et de députés, devraient s’en tenir au parrainage des élus, au lieu de polluer l’espace pour empêcher les autres d’y accéder. Tout le monde parle d’élections inclusives mais, en réalité, ces formations politiques veulent des élections entre elles et sans les autres.
J’ai reçu des pièces d’identité de gens qui sont spontanément venu nous les livrer. C’est une méthode de contrôle du nombre de candidats. Il faut être éthique et honnête. Il y a le marché du parrainage qui est là et un vrai business ,avec des gens qui vendent leurs pièces et d’autres qui les achètent.
Les groupements dont les Gie de femmes, les mouvements de femmes, sont ciblés par des partis et candidats, qui achètent systématiquement les parrains. Mais il faut arriver à un contrôle. Aujourd’hui, personne ne sait comment est constitué le logiciel qui va surveiller le parrainage.
Parlons de cette polémique autour des chiffres. Certains avancent des millions de parrains. Le total de parrains risque de dépasser le nombre d’électeurs inscrits ?
C’est absurde, mais il faut juste de l’intelligence. Car ils peuvent collecter trois millions 700 pour celui-là qui a annoncé le chiffre le plus élevé. Mais on ne peut déposer que 58 900 parrains. C’est peut-être pour dire que nous avons la moitié du corps électoral et que demain, qu’il justifie un hold-up électoral. C’est tragique. C’est absurde, car c’est la moitié des gens inscrits. D’autres parlent de deux millions ou plus. Nous, nous sommes transparents et nous en avons plus de 50.000 et notre objectif est d’en avoir les 60 000, pas plus.
Nous sommes très modestes dans le discours, surtout que c’est une donnée à remplir pour être candidat. Nous faisons tout pour réussir, car nous avons des difficultés. Nous avons fait beaucoup de villages, ce qui nous a permis d’avoir plus de 2000 parrains et c’est positif. Nous avons eu des difficultés, car en cette période, nous avons une situation à revoir.
Les formations politiques qui remplissent les conditions d’avoir le nombre de maires, de conseillers et de députés, devraient s’en tenir au parrainage des élus, au lieu de polluer l’espace pour empêcher les autres d’y accéder. Tout le monde parle d’élections inclusives mais, en réalité, ces formations politiques veulent des élections entre elles et sans les autres.
J’ai reçu des pièces d’identité de gens qui sont spontanément venu nous les livrer. C’est une méthode de contrôle du nombre de candidats. Il faut être éthique et honnête. Il y a le marché du parrainage qui est là et un vrai business ,avec des gens qui vendent leurs pièces et d’autres qui les achètent.
Les groupements dont les Gie de femmes, les mouvements de femmes, sont ciblés par des partis et candidats, qui achètent systématiquement les parrains. Mais il faut arriver à un contrôle. Aujourd’hui, personne ne sait comment est constitué le logiciel qui va surveiller le parrainage.
Parlons de cette polémique autour des chiffres. Certains avancent des millions de parrains. Le total de parrains risque de dépasser le nombre d’électeurs inscrits ?
C’est absurde, mais il faut juste de l’intelligence. Car ils peuvent collecter trois millions 700 pour celui-là qui a annoncé le chiffre le plus élevé. Mais on ne peut déposer que 58 900 parrains. C’est peut-être pour dire que nous avons la moitié du corps électoral et que demain, qu’il justifie un hold-up électoral. C’est tragique. C’est absurde, car c’est la moitié des gens inscrits. D’autres parlent de deux millions ou plus. Nous, nous sommes transparents et nous en avons plus de 50.000 et notre objectif est d’en avoir les 60 000, pas plus.