« C'est avec une profonde gratitude que je vous accueille à la Primature pour installer et lancer les travaux du Comité de Commémoration du 80e anniversaire du massacre des Tirailleurs sénégalais à Thiaroye », a déclaré Ousmane Sonko lors de la cérémonie d’installation.
Ce comité, présidé par le professeur Mamadou Diouf, réunit des représentants des ministères, des institutions républicaines, de la société civile et des experts venant de divers horizons. Il est structuré en deux commissions principales.
La première commission, dédiée à l'établissement des faits, aura pour mission de recueillir des preuves, des témoignages et des documents afin de mieux comprendre les événements tragiques survenus à Thiaroye.
La seconde commission, consacrée à la mémoire et à la commémoration, proposera des actions visant à honorer la mémoire des victimes et à sensibiliser les générations futures.
Pour le Premier ministre, la première tâche du comité sera d’élaborer et de valider un calendrier détaillé des activités, qui s’étendra du 16 août, jour de l’installation, jusqu’au 1er décembre 2024, date de la commémoration.
« Il vous incombe d'aller au-delà de la simple manifestation de la vérité, afin que justice soit rendue et que les leçons de cette tragédie soient pleinement intégrées dans notre conscience collective », a ajouté Ousmane Sonko.
Il a également exhorté les membres du comité à travailler avec rigueur, à la hauteur des sacrifices consentis par les Tirailleurs sénégalais, dont la mémoire doit être préservée.
Selon toujours l’Agence de Presse, le Premier ministre a rappelé que cette tragédie, survenue le 1er décembre 1944, concerne non seulement le Sénégal, mais aussi l'ensemble du continent africain. Il a insisté sur le fait que les Tirailleurs sénégalais, héros souvent invisibilisés, ont combattu pour la liberté et la dignité de la France, et que leur sacrifice mérite d'être reconnu, honoré et inscrit de manière indélébile dans la mémoire collective.
En conclusion, Ousmane Sonko a exprimé le souhait que le 80e anniversaire du massacre de Thiaroye soit un moment de mémoire et de justice, éclairant un futur où la dignité humaine africaine est pleinement respectée.
Le professeur Mamadou Diouf a, pour sa part, souligné l'importance de mener une réflexion approfondie sur les ressources intellectuelles et matérielles nécessaires pour réussir cette commémoration, mais aussi pour contribuer à l'édification d'une bibliothèque civique, historique et artistique, et, à long terme, au développement des humanités africaines.
Ce comité, présidé par le professeur Mamadou Diouf, réunit des représentants des ministères, des institutions républicaines, de la société civile et des experts venant de divers horizons. Il est structuré en deux commissions principales.
La première commission, dédiée à l'établissement des faits, aura pour mission de recueillir des preuves, des témoignages et des documents afin de mieux comprendre les événements tragiques survenus à Thiaroye.
La seconde commission, consacrée à la mémoire et à la commémoration, proposera des actions visant à honorer la mémoire des victimes et à sensibiliser les générations futures.
Pour le Premier ministre, la première tâche du comité sera d’élaborer et de valider un calendrier détaillé des activités, qui s’étendra du 16 août, jour de l’installation, jusqu’au 1er décembre 2024, date de la commémoration.
« Il vous incombe d'aller au-delà de la simple manifestation de la vérité, afin que justice soit rendue et que les leçons de cette tragédie soient pleinement intégrées dans notre conscience collective », a ajouté Ousmane Sonko.
Il a également exhorté les membres du comité à travailler avec rigueur, à la hauteur des sacrifices consentis par les Tirailleurs sénégalais, dont la mémoire doit être préservée.
Selon toujours l’Agence de Presse, le Premier ministre a rappelé que cette tragédie, survenue le 1er décembre 1944, concerne non seulement le Sénégal, mais aussi l'ensemble du continent africain. Il a insisté sur le fait que les Tirailleurs sénégalais, héros souvent invisibilisés, ont combattu pour la liberté et la dignité de la France, et que leur sacrifice mérite d'être reconnu, honoré et inscrit de manière indélébile dans la mémoire collective.
En conclusion, Ousmane Sonko a exprimé le souhait que le 80e anniversaire du massacre de Thiaroye soit un moment de mémoire et de justice, éclairant un futur où la dignité humaine africaine est pleinement respectée.
Le professeur Mamadou Diouf a, pour sa part, souligné l'importance de mener une réflexion approfondie sur les ressources intellectuelles et matérielles nécessaires pour réussir cette commémoration, mais aussi pour contribuer à l'édification d'une bibliothèque civique, historique et artistique, et, à long terme, au développement des humanités africaines.