Mais pour ledit mouvement, il y a aussi le taux de chômage élevé qui gangrène le quotidien des jeunes de Matam. M. Sarr de rappeler :
«Le président de la République, lors du Conseil des ministres délocalisé en juin 2021, ayant constaté le retard, avait rassuré les populations en demandant à l’entrepreneur d’accélérer les travaux et de livrer le produit en décembre 2021. Une chose qui, jusque-là, n’a pas été respectée au moment où la quasi totalité des Isep sont fonctionnels.»
Il ajoute que les travaux de l’université Souleymane Niang de Matam que le président de la République avait promise aux Matamois devant leur guide religieux Thierno Mohamadou Samassa n’ont toujours pas démarré.
Au-delà de ces promesses non tenues, Gomou yakaar de Matam alerte les autorités sur la situation de certains établissements scolaires vétustes à l’image de l’école Ibrahima Serbia Thioub dont les salles de classe ont perdu leur toit. Ces jeunes appellent les autorités à prendre des mesures afin de rénover ces établissements.
Il alerte aussi les autorités sur les chantiers d’assainissement de la ville non achevés. Le mouvement Gomou yakaar se fait l’avocat de la population et compte mener une campagne de sensibilisation pour sanctionner le régime en place si les autorités ne réagissent pas.
Bes Bi
«Le président de la République, lors du Conseil des ministres délocalisé en juin 2021, ayant constaté le retard, avait rassuré les populations en demandant à l’entrepreneur d’accélérer les travaux et de livrer le produit en décembre 2021. Une chose qui, jusque-là, n’a pas été respectée au moment où la quasi totalité des Isep sont fonctionnels.»
Il ajoute que les travaux de l’université Souleymane Niang de Matam que le président de la République avait promise aux Matamois devant leur guide religieux Thierno Mohamadou Samassa n’ont toujours pas démarré.
Au-delà de ces promesses non tenues, Gomou yakaar de Matam alerte les autorités sur la situation de certains établissements scolaires vétustes à l’image de l’école Ibrahima Serbia Thioub dont les salles de classe ont perdu leur toit. Ces jeunes appellent les autorités à prendre des mesures afin de rénover ces établissements.
Il alerte aussi les autorités sur les chantiers d’assainissement de la ville non achevés. Le mouvement Gomou yakaar se fait l’avocat de la population et compte mener une campagne de sensibilisation pour sanctionner le régime en place si les autorités ne réagissent pas.
Bes Bi