Le docteur A. B. Mbacké et ses co-prévenus, D. Mbodj, O. Ly Ba, I. Sow et M. Guèye, ont été attraits, hier jeudi matin, pour la deuxième fois, à la barre du Tribunal de Matam. Après le report de l’audience du 31 octobre, le procès devant opposer le médecin-chef du District sanitaire de Matam, à son ex-épouse, Dieynaba hier, jeudi 07 novembre, au Tribunal de Matam, a été encore renvoyé au jeudi 14 novembre 2024, relate "Sudquotidien.sn".
Poursuivi pour «coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) de 10 jours, de menaces, et d’agressions», par son ex-conjointe, le médecin qui séjourne depuis le 23 octobre dernier à la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Matam, retourne ainsi en prison. Ses co-inculpés, poursuivis pour «complicité, enlèvement et non-assistance à une personne en danger (…)», avaient bénéficié quant à eux d’une liberté provisoire depuis le début de cette affaire.
Au niveau du Tribunal, c’est encore l’absence de la plaignante qui a motivé le report du procès. Il se trouve que Dieynaba, qui a été jugée et condamnée à trois mois de prison ferme ainsi qu’à une amende de 4 millions de francs Cfa, est incarcérée, elle aussi, à la prison des femmes de Liberté 6, suite à une plainte de [son mari], «pour collecte illicite de données à caractère personnel en vue de les partager».
Toujours est-il, que le Tribunal, pour la manifestation de la vérité, accorde une grande importance à la présence de la présumée victime. Durant la première audience, le président de séance avait même demandé l’extraction de l’ex-conjointe du médecin, rappelle-t-on dans "Sudquotidien.sn".
Poursuivi pour «coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) de 10 jours, de menaces, et d’agressions», par son ex-conjointe, le médecin qui séjourne depuis le 23 octobre dernier à la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Matam, retourne ainsi en prison. Ses co-inculpés, poursuivis pour «complicité, enlèvement et non-assistance à une personne en danger (…)», avaient bénéficié quant à eux d’une liberté provisoire depuis le début de cette affaire.
Au niveau du Tribunal, c’est encore l’absence de la plaignante qui a motivé le report du procès. Il se trouve que Dieynaba, qui a été jugée et condamnée à trois mois de prison ferme ainsi qu’à une amende de 4 millions de francs Cfa, est incarcérée, elle aussi, à la prison des femmes de Liberté 6, suite à une plainte de [son mari], «pour collecte illicite de données à caractère personnel en vue de les partager».
Toujours est-il, que le Tribunal, pour la manifestation de la vérité, accorde une grande importance à la présence de la présumée victime. Durant la première audience, le président de séance avait même demandé l’extraction de l’ex-conjointe du médecin, rappelle-t-on dans "Sudquotidien.sn".