Le coach qui n’a pas lésiné sur les moyens a recruté plus d’une trentaine de jeunes, payés 10 000 francs Cfa la journée pour faire la ronde autour du Stade qui devait accueillir la rencontre et parer au plus pressé. Ces jeunes, de mastodontes dont la mission était de veiller sur le stade ont effectué leurs missions avec hargne. A en croire le quotidien Kotch, il n’était pas rare d’entendre ces jeunes dire aux gendarmes en faction au stade Léopold Sédar Senghor : « Ne laissez personne entrer dans la zone du stade ».
Mais le plus inquiétant dans cette histoire, c’est que coach Amara n’a pas loué le service de ces jeunes que pour contrer les attaques mystiques de camerounais. Et c’est à croire que des sénégalais ne veulent pas que l’équipe renaisse de ses cendres et devienne celle qu’elle a toujours été. Mais ceux qui s’érigent en destructeurs de l’équipe nationale ne perdent rien pour attendre car le camp d’Amara Traoré aurait pris toutes les mesures nécessaires pour mettre toutes leurs pratiques à nu. « Nous les connaissons tous et s’ils ne font pas attention, nous allons les dénoncer », ont menacé les jeunes recrutés par Amara Traoré. Ce dernier peut jubiler car jusque-là, il s'en sort avec à la clef trois victoires en autant de sorties en attendant de faire le déplacement du Cameroun au mois de juin.
Mais le plus inquiétant dans cette histoire, c’est que coach Amara n’a pas loué le service de ces jeunes que pour contrer les attaques mystiques de camerounais. Et c’est à croire que des sénégalais ne veulent pas que l’équipe renaisse de ses cendres et devienne celle qu’elle a toujours été. Mais ceux qui s’érigent en destructeurs de l’équipe nationale ne perdent rien pour attendre car le camp d’Amara Traoré aurait pris toutes les mesures nécessaires pour mettre toutes leurs pratiques à nu. « Nous les connaissons tous et s’ils ne font pas attention, nous allons les dénoncer », ont menacé les jeunes recrutés par Amara Traoré. Ce dernier peut jubiler car jusque-là, il s'en sort avec à la clef trois victoires en autant de sorties en attendant de faire le déplacement du Cameroun au mois de juin.