‘’Le manque de titre chez les garçons depuis 1997 peut paraitre contradictoire au vu de notre potentiel, mais ça s’explique aisément quand on regarde la culture de sélection des composantes de nos différentes équipes nationales ces dernières années’’, a expliqué l’ancien Manager général des équipes nationales du Sénégal et de la Côte d’Ivoire.
Parlant des joueurs des dernières équipes nationales, Mathieu Faye, qui a réussi un triplé en 1983 (coupes de France et d’Europe et championnat) avec le CSP Limoges en France, rappelle que ces derniers n’ont pas de vécu commun en petits catégories.
‘’On fait jouer ensemble des basketteurs venus d’horizons divers et, avec le peu de temps qu’ils mettent ensemble dans leur préparation, c’est toujours difficile de mettre sur pied des sélections nationales compétitives’’, a-t-il dit, appelant les dirigeants à remettre au goût du jour la formation à la base.
Le basket sénégalais régnait sur l’Afrique parce qu’il n’y avait pas de génération spontanée, les joueurs se retrouvant en séniors ont souvent un vécu en cadets, en juniors, a-t-il dit.
‘’Quand je parle d’un travail à la base, c’est de prendre les jeunes dès le bas âge et leur apprendre les fondamentaux à travers le mini-basket’’, a-t-il par ailleurs ajouté, soulignant qu’avec cette formation à la base, les joueurs sénégalais parvenaient facilement à évoluer dans l’élite européenne.
Prenant son cas, il rappelle avoir quitté la Jeanne d’Arc pour aller jouer directement dans l’élite française au CSP Limoges, au Racing Club de Paris avant de terminer à Gravelines.
Le Sénégal, qui court derrière un titre continental depuis 1997 à Dakar, prendra part à l’Afrobasket masculin 2013 dans la même poule que la Côte d’Ivoire (pays organisateur), l’Algérie et l’Egypte.
APS
Parlant des joueurs des dernières équipes nationales, Mathieu Faye, qui a réussi un triplé en 1983 (coupes de France et d’Europe et championnat) avec le CSP Limoges en France, rappelle que ces derniers n’ont pas de vécu commun en petits catégories.
‘’On fait jouer ensemble des basketteurs venus d’horizons divers et, avec le peu de temps qu’ils mettent ensemble dans leur préparation, c’est toujours difficile de mettre sur pied des sélections nationales compétitives’’, a-t-il dit, appelant les dirigeants à remettre au goût du jour la formation à la base.
Le basket sénégalais régnait sur l’Afrique parce qu’il n’y avait pas de génération spontanée, les joueurs se retrouvant en séniors ont souvent un vécu en cadets, en juniors, a-t-il dit.
‘’Quand je parle d’un travail à la base, c’est de prendre les jeunes dès le bas âge et leur apprendre les fondamentaux à travers le mini-basket’’, a-t-il par ailleurs ajouté, soulignant qu’avec cette formation à la base, les joueurs sénégalais parvenaient facilement à évoluer dans l’élite européenne.
Prenant son cas, il rappelle avoir quitté la Jeanne d’Arc pour aller jouer directement dans l’élite française au CSP Limoges, au Racing Club de Paris avant de terminer à Gravelines.
Le Sénégal, qui court derrière un titre continental depuis 1997 à Dakar, prendra part à l’Afrobasket masculin 2013 dans la même poule que la Côte d’Ivoire (pays organisateur), l’Algérie et l’Egypte.
APS