Ce n'est pas qu'au Sénégal que le détenus s'évadent. Le Populaire révèle que c'est l’affolement en Mauritanie où, depuis jeudi, un terroriste, qui avait été condamné à mort en 2011 dans l’attentat manqué à la voiture piégée à Nouakchott qui "visait à assassiner" le Président mauritanien, selon Al-Qaïda au Maghreb islamique qui l’avait revendiqué, a fondu dans la nature. Le terroriste Cheikh Ould Saleck a apparemment eu tout le temps, dans l'après-midi du jeudi 31 décembre 2015, pour préparer sa fuite, sans que cela n'éveille les soupçons de ses geôliers, laissant derrière lui l'emblème à l'effigie d'Aqmi, selon le site "Al akhbar". Ce n'est qu'à l'heure de la prière de nuit, renseigne-t-on, que ses codétenus ont remarqué son absence avant que ses geôliers ne soient alertés par cette disparition "mystérieuse".
Mieux, indique le journal, Cheikh Ould Saleck aurait même payé toutes ses dettes contractées en prison, preuve qu'il avait suffisamment d'argent. Mais, le plus incroyable, d'après nos confrères, c'est que le détenu a voulu narguer les autorités en laissant derrière lui des messages pour rappeler son statut de combattant irréductible d'Al Qaeda. En effet, sur un agenda laissé sur place, il a écrit "Khaled Abou Al Abass" surnom donné au chef d'Aqmi dans la région, Mokhtar Belmokhtar. Il a également laissé dans sa cellule un drapeau et une chemise aux couleurs de la Garde nationale. Cheikh Ould Saleck a certainement profité de connivences. Selon toujours "Al akhbar", une source proche de l’enquête a confié que la caméra de surveillance à l’extérieur de la prison a filmé, jeudi soir, deux femmes en burqa sortant de la prison à quelques minutes d’intervalles. Ould Saleck devait recevoir le même jour la visite de son épouse.
D'ailleurs, cette dernière a été arrêtée vendredi soir de même que la sœur du terroriste fugitif. En tout cas, c'est le branle-bas chez nos voisins où les autorités ont lancé, hier dimanche, un avis de recherche à l’endroit des populations pour permettre l’arrestation de Cheikh Ould Saleck. Elles ont notamment diffusé des photos récentes du fugitif indiquant que c’est un « terroriste dangereux ». Elles en ont aussi donné à la filiation et une plus grande description physique. Les autorités ont également mis en circulation des contacts téléphoniques pour aider à son arrestation. A Nouakchott, gendarmes et policiers sont sur le pied de guerre. Les moyens déployés pour retrouver le terroriste sont jusqu'ici vains. A noter également que chez le voisin sénégalais, des mesures sont prises et des moyens déployés à la frontière pour éventuellement intercepter le terroriste.
Mieux, indique le journal, Cheikh Ould Saleck aurait même payé toutes ses dettes contractées en prison, preuve qu'il avait suffisamment d'argent. Mais, le plus incroyable, d'après nos confrères, c'est que le détenu a voulu narguer les autorités en laissant derrière lui des messages pour rappeler son statut de combattant irréductible d'Al Qaeda. En effet, sur un agenda laissé sur place, il a écrit "Khaled Abou Al Abass" surnom donné au chef d'Aqmi dans la région, Mokhtar Belmokhtar. Il a également laissé dans sa cellule un drapeau et une chemise aux couleurs de la Garde nationale. Cheikh Ould Saleck a certainement profité de connivences. Selon toujours "Al akhbar", une source proche de l’enquête a confié que la caméra de surveillance à l’extérieur de la prison a filmé, jeudi soir, deux femmes en burqa sortant de la prison à quelques minutes d’intervalles. Ould Saleck devait recevoir le même jour la visite de son épouse.
D'ailleurs, cette dernière a été arrêtée vendredi soir de même que la sœur du terroriste fugitif. En tout cas, c'est le branle-bas chez nos voisins où les autorités ont lancé, hier dimanche, un avis de recherche à l’endroit des populations pour permettre l’arrestation de Cheikh Ould Saleck. Elles ont notamment diffusé des photos récentes du fugitif indiquant que c’est un « terroriste dangereux ». Elles en ont aussi donné à la filiation et une plus grande description physique. Les autorités ont également mis en circulation des contacts téléphoniques pour aider à son arrestation. A Nouakchott, gendarmes et policiers sont sur le pied de guerre. Les moyens déployés pour retrouver le terroriste sont jusqu'ici vains. A noter également que chez le voisin sénégalais, des mesures sont prises et des moyens déployés à la frontière pour éventuellement intercepter le terroriste.