« Le président Macky Sall doit chercher quelqu’un d’autre pour me remplacer. En tout cas celui qui veut postuler peut se lancer dans la course puisque le poste est presque vacant », fait-il savoir.
Moustapha Cissé Lô s’est prononcé, aussi, sur son avenir politique. C’est ainsi qu’il déclare que l’APR (au pouvoir) est sa dernière formation politique. « Je suis dans l’APR et cette formation politique est ma dernière. Puisqu’après j’irai directement en retraite », promet-il.
Moustapha CIssé Lô a été démis de ses fonctions de ministre conseiller auprès du chef de l’Etat il y a peu. Le président Macky Sall semblait exaspéré par la polémique entretenue par son "frère" de parti qui disputait le poste de président de l’Assemblée nationale à Moustapha Niasse, tête de liste de la coalition qui aux dernières législatives a porté le leader de la colaition Benoo Bokk Yaakar au pouvoir. Le désormais ex-cordonnateur de l’APR à Mbacké a décidé, au sortir d’une audience avec le président de la République, de renoncer à sa candidature pour le "perchoir" de l’hémicycle de la place Soweto (siège du Parlement).
Celui qui est surnommé « El pistolero » (pour son goût à brandir un pistlet) est élu député à l’issue des élections législatives du 1er juillet dernier.
Ferloo.com
Moustapha Cissé Lô s’est prononcé, aussi, sur son avenir politique. C’est ainsi qu’il déclare que l’APR (au pouvoir) est sa dernière formation politique. « Je suis dans l’APR et cette formation politique est ma dernière. Puisqu’après j’irai directement en retraite », promet-il.
Moustapha CIssé Lô a été démis de ses fonctions de ministre conseiller auprès du chef de l’Etat il y a peu. Le président Macky Sall semblait exaspéré par la polémique entretenue par son "frère" de parti qui disputait le poste de président de l’Assemblée nationale à Moustapha Niasse, tête de liste de la coalition qui aux dernières législatives a porté le leader de la colaition Benoo Bokk Yaakar au pouvoir. Le désormais ex-cordonnateur de l’APR à Mbacké a décidé, au sortir d’une audience avec le président de la République, de renoncer à sa candidature pour le "perchoir" de l’hémicycle de la place Soweto (siège du Parlement).
Celui qui est surnommé « El pistolero » (pour son goût à brandir un pistlet) est élu député à l’issue des élections législatives du 1er juillet dernier.
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