"L’emploi ne se décrète pas, c’est tout un environnement. Il faut un environnement des affaires propice. L’Etat ne crée pas des emplois, il faut redonner confiance aux investisseurs aussi bien nationaux qu’étrangers", a-t-il dit. Le président du Mouvement des entreprises du Sénégal (Mdes) a aussi indiqué que les entreprises ne recrutent presque plus à cause de la formation qui n’est pas en adéquation aux besoins des entreprises.
"Aujourd’hui, les décideurs et les chefs d’entreprise sont frileux d’embaucher. Le constat est que les jeunes sont formés dans des secteurs complètement saturés. Nous incitons les jeunes depuis une dizaine d’années dans l’auto-emploi c'est-à-dire créer leur propre entreprise Le secteur privé et le secteur public confondu offrent en moyenne 30 à 35 000 emplois par an. Sur le marché du travail, il y a plus de 200 000 jeunes qui arrivent chaque année".
Sur la situation économique du pays qui semble bloquée, Mbagnick Diop déclare : "Depuis la nouvelle alternance, les investisseurs sont frileux, parce que l’environnement des affaires ne répond pas pour l'instant à leur attente. Les potentiels investisseurs que nous rencontrons, disent attendre un climat apaisé de l'environnement des affaires. Lorsqu’on n’investit pas, on ne crée pas de croissance, et lorsqu’il y a pas de croissance, il ne peut pas y avoir d’emploi".
"Aujourd’hui, les décideurs et les chefs d’entreprise sont frileux d’embaucher. Le constat est que les jeunes sont formés dans des secteurs complètement saturés. Nous incitons les jeunes depuis une dizaine d’années dans l’auto-emploi c'est-à-dire créer leur propre entreprise Le secteur privé et le secteur public confondu offrent en moyenne 30 à 35 000 emplois par an. Sur le marché du travail, il y a plus de 200 000 jeunes qui arrivent chaque année".
Sur la situation économique du pays qui semble bloquée, Mbagnick Diop déclare : "Depuis la nouvelle alternance, les investisseurs sont frileux, parce que l’environnement des affaires ne répond pas pour l'instant à leur attente. Les potentiels investisseurs que nous rencontrons, disent attendre un climat apaisé de l'environnement des affaires. Lorsqu’on n’investit pas, on ne crée pas de croissance, et lorsqu’il y a pas de croissance, il ne peut pas y avoir d’emploi".