«J’essaie de jouer comme je sais le faire. Aujourd’hui, je suis très content. Marquer dans une finale, c’est toujours particulier. J’ai toujours travaillé pour vivre des moments comme ça. Mais ce n’est pas la fin non plus. Il faut continuer parce que j’ai l’ambition d’aller plus loin. D’aller jusqu’au bout de mes limites.
Gagner une Coupe du monde aussi jeune, cela ouvre d’autres portes. Mais maintenant, il faut continuer à travailler. Je suis encore au début du chemin. Je peux faire beaucoup plus. Lorsque vous avez des qualités, il faut en être conscient et y croire. Ce ne sont pas forcément les plus beaux qui gagnent, mais c’est aussi ceux qui y croient le plus. Et on y croyait dur comme fer.
Aujourd’hui, on s’aperçoit que nous ne sommes pas de menteurs. Je suis très content et je vais faire la fête comme tout le monde. J’ai encore toute une histoire à écrire.
(Sur le Ballon d’or) La compétition est finie mais il y a de grands joueurs. Après, c’est sûr que la Coupe du monde va jouer en ma faveur mais je n’y pense pas.
(Sur la pression) J’ai toujours été prêt mentalement pour de belles choses. La sélection représente beaucoup de pression mais si vous êtes sûrs de vous et que vous êtes bien entourés, vous prenez du plaisir.
(Sur le PSG) Bien sûr, je reste, à 100%.»
Le Figaro
Gagner une Coupe du monde aussi jeune, cela ouvre d’autres portes. Mais maintenant, il faut continuer à travailler. Je suis encore au début du chemin. Je peux faire beaucoup plus. Lorsque vous avez des qualités, il faut en être conscient et y croire. Ce ne sont pas forcément les plus beaux qui gagnent, mais c’est aussi ceux qui y croient le plus. Et on y croyait dur comme fer.
Aujourd’hui, on s’aperçoit que nous ne sommes pas de menteurs. Je suis très content et je vais faire la fête comme tout le monde. J’ai encore toute une histoire à écrire.
(Sur le Ballon d’or) La compétition est finie mais il y a de grands joueurs. Après, c’est sûr que la Coupe du monde va jouer en ma faveur mais je n’y pense pas.
(Sur la pression) J’ai toujours été prêt mentalement pour de belles choses. La sélection représente beaucoup de pression mais si vous êtes sûrs de vous et que vous êtes bien entourés, vous prenez du plaisir.
(Sur le PSG) Bien sûr, je reste, à 100%.»
Le Figaro