Mamy G. est une restauratrice. Les policiers enquêteurs l’ont trouvée chez elle, en possession de 400 g de chanvre indien. A la barre du Tribunal de Grande Instance de Mbour, la prévenue déclare que cette drogue ne lui appartient pas et qu’on lui a tendu un piège. Elle accuse la maîtresse de son mari d’être derrière cette affaire.
«Mon mari sort avec une femme. Un jour, je l’ai surprise dans mon lit. Je me suis violemment attaquée à elle. Nous nous sommes battues. Puis, elle m’a menacée. Suite à cette bagarre, ma fille a ramassé un sachet de chanvre indien dans la cour», a-telle déclaré.
«C’est au moment où j'ouvrais le sachet pour voir ce qu’il contenait, que les policiers sont venus me prendre. Je ne sais pas à qui appartient ce chanvre indien. Je suis persuadée que c’est l’œuvre de cette femme que j’ai surprise avec mon mari», s’est-elle défendue.
Mais il ressort des débats d’audience et de l’enquête préliminaire, que Mamy G. est une restauratrice qui aime bien fumer l’herbe dangereuse. Le procureur a requis l’application de la loi. Elle a été condamnée à une peine d’un mois ferme.
«Mon mari sort avec une femme. Un jour, je l’ai surprise dans mon lit. Je me suis violemment attaquée à elle. Nous nous sommes battues. Puis, elle m’a menacée. Suite à cette bagarre, ma fille a ramassé un sachet de chanvre indien dans la cour», a-telle déclaré.
«C’est au moment où j'ouvrais le sachet pour voir ce qu’il contenait, que les policiers sont venus me prendre. Je ne sais pas à qui appartient ce chanvre indien. Je suis persuadée que c’est l’œuvre de cette femme que j’ai surprise avec mon mari», s’est-elle défendue.
Mais il ressort des débats d’audience et de l’enquête préliminaire, que Mamy G. est une restauratrice qui aime bien fumer l’herbe dangereuse. Le procureur a requis l’application de la loi. Elle a été condamnée à une peine d’un mois ferme.